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Dans un village japonais qui être resté figé au siècle dernier, Kentaro travaille aux champs, dans une teinturerie, et rend visite à une vieille dame silencieuse... Cet éloge de la lenteur bénéficie d’images superbes (ah, ces plans de nuages jouant avec les montagnes !), mais il lui manque un fil narratif lisible et cohérent. Faute de précisions sur les motivations qui incitent le personnage central, visiblement urbain, à changer de vie et sur la part de fiction et de documentaire, la succession de saynètes bucoliques, si jolies soient-elles, devient vaine.
Toutes les critiques de Slow Life
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Dans un village près de Kyoto, un jeune homme qui vient de la ville aide les habitants dans leurs diverses activités. Une chronique malicieuse teintée de mystère, éloge possible d'un mode de vie synonyme de quiétude.
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La vaine séquence finale, complaisamment hermétique, fait passer du doute à l’agacement. Cette tendance à jouer sur trop de tableaux nuit aussi à la restitution des relations de Kentaro : avec la femme, avec la jeune fille, avec l’employé de la fabrique, avec son ami – trop de rapports et trop peu de densité.
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Chronique d’un village nippon. Honorable.
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Le réalisateur poursuit ici son travail au Japon avec la chronique du retour à la campagne d'un jeune citadin. Une méditation presque abstraite qui tourne parfois à vide.
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Ce récit initiatique à l'énigmatique épilogue sollicite, pour en apprécier l'apaisante beauté, une certaine disponibilité.
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Du cinéma expérimental qui se pare de réelles qualités formelles, mais qui tourne à vide par incapacité à transmettre un quelconque message.