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Ce volet, moins abouti que le premier, poursuit le jeu avec les codes du film de maison hantée, plutôt mieux que "Paranormal Activity" ou "Insidious".
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Les meurtres sont perçus à travers les images tremblotantes filmées par les petits assassins, renvoyant à un présent où l’horreur d’une mort en direct peut devenir un spectacle banal et terrorisant. C’est là l’unique motif de réflexion que suscite cette saga.
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Moins terrifiante et intense, cette suite entretient la mythologie avec des idées délicieusement sadiques et un humour décalé.
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"Sinister 2" n’a rien de la patine nocturne et de l’audace du premier (...) il aligne sans passion caves remplies d’enfants-spectres matant des films Super 8, mari brutos débilitant, monstre mythologique muet (Bughuul) et personnages fades. Sinistre.
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Tout le contraire de l’excellent "Sinister". Une suite ratée de A à Z.