Toutes les critiques de Porfirio

Les critiques de Première

  1. Première
    par Adrien Maillard

    Paralysé à cause d’une balle perdue, Porfirio attend les aides de l’État. Un témoignage cru sur le handicap, illustré par d’émouvantes séquences.

Les critiques de la Presse

  1. Toutlecine.com
    par Romain Duvic

    Landes ne verse ainsi jamais dans le misérabilisme et livre un portrait qui semble toujours honnête et authentique. Un beau film en somme.

  2. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Porfirio Ramirez incarne son propre personnage dans cette étonnante fiction qui retrace le parcours de ce paraplégique, victime indocile de la guerre civile.

  3. Critikat.com
    par Camille Pollas

    Si parfois la mise en scène de Landes a le caractère strict d’une jeunesse qui revendique une radicalité artistique, qu’elle fait de scènes naturelles des scènes inévitables (le sexe explicite) et par là un peu forcées, Porfirio porte un regard dont la perspicacité ajoute à la justesse la synthèse d’un pays.

  4. par Isabelle Danel

Entre docu et fiction, un drôle d'objet narrant en creux la guérilla colombienne et ses dommages collatéraux.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Frédéric Mercier

    Avec lui [Porfirio], le film gagne en ampleur jusqu'à son grandiose final, allégorie d'une radicalité brute étonnante.

  • Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Un docu-fiction qui montre bien qui sont, au quotidien, les vrais héros.

  • A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Tourné à la manière d’un documentaire, Porfirio est le portrait sensible d’un handicapé qui lutte sans cesse pour conserver sa dignité. Dommage que la forme, très austère, condamne le long-métrage à une certaine monotonie.

  • Télérama
    par Jacques Morice

    Cette chronique proche du documentaire révèle l'existence d'un homme insolite, Porfirio lui-même, qui a accepté de s'exposer sans fard. Par petites touches sensibles, un portrait se dessine, un suspense inattendu prend corps.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Nicolas Azalbert

    Ce premier film, sobrement composé et intelligemment cadré en Scope (…) profite, autant qu’il le sert, de l’intérêt actuel pour le cinéma colombien.

  • L'Humanité
    par Jean Roy

    À la fin, et à la fin seulement, durant une chanson qui accompagne le générique, on saura tout. Sinon, cela aurait pu être le portrait d’un invalide dans son fauteuil, d’âge moyen, un peu gras et le cheveu rare, mais la moustache vaillante. (...) Mais, on l’a dit, la fin surprendra.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Nicolas Azalbert

    Ce premier film, sobrement composé et intelligemment cadré en Scope (...) profite, autant qu'il le sert, de l'intérêt actuel pour le cinéma colombien.