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Un formidable divertissement pour les ados et les plus grands. Dépaysant et rafraîchissant !
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L'intrigue vaut ce qu'elle vaut, on s'en moque. Tout est dans les personnages, joliment troussés en mélangeant astucieusement caractères contemporains et caractéristiques mythologiques, et dans les péripéties à effets spéciaux, très réussies. (...) contrairement à ce que prétendent certaines rumeurs, on ne s'ennuie pas, chez les dieux.
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Odyssée très drôle, intelligente et effrayante parce que c'est le jeu, la quête menée par Jackson est aussi totalement délirante.
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Manque de bol, le scénario est trop lisse, à l'image de ses héros. Reste des effets spéciaux bluffants, qui devraient plaire aux jeunes.
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"La Mer des Monstres" s’avère être un divertissement plaisant à suivre. Toujours basé sur la série publiée par l’Américain Rick Riordan, l’épisode est rythmé par les touches d’humour et les effets spéciaux qu’une discrète 3D met en valeur. Le tout n’est pas franchement nouveau dans le paysage des films fantastiques jeunesse. Succédant à Chris Columbus, réalisateur du premier volet et des deux premières adaptations de J.K. Rowling, Thor Freudenthal reste dans un esprit et une esthétique très "Harry Potter" (personnages, répliques, décors), ce qui est inévitable tant les deux séries sont similaires.
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Dans le but sans doute de limiter la casse budgétaire, les producteurs ont choisi de privilégier le scénario (plutôt malin dans son recours à un humour nourri au second degré et sa manière décalée de revisiter la mythologie grecque) au détriment des effets spéciaux, franchement bâclés. Mais qui, dans l’état, confèrent un petit cachet vintage à cette série B bancale mais pas antipathique.
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Malgré des effets spéciaux plutôt réussis (les abysses sous l’océan) ou rigolos (les hommes zoomorphes), cette saga qui lorgne du côté de « Harry Potter » n’en a ni le piquant ni la magie. Et les personnages sont un peu trop fades pour nous passionner.
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Aussi nul que son prédécesseur était sympatoche dans sa relecture de la Mythologie pour les ados. Et puis on cherche encore LES monstres dans la fameuse mer du titre.
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Le scénario sans surprise, les combats mou du genou et l'absence de tension rendent l'ensemble assez fade que la 3D totalement gadget ne vient pas embellir. Reste la volonté louable de vouloir rendre accessible la mythologie grecque aux plus jeunes en la modernisant.
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Entre Harry Potter et Le Monde de Narnia, cette saga pour ados, riche en effets spéciaux mais aux personnages sans saveur et aux rebondissements prévisibles, permettra,
au mieux, de réviser sa mythologie. -
Bref, l’aventure traîne en longueur et l’on se demande si le peu de relief de cette histoire ne serait pas uniquement dû à l’énième conversion 3D plutôt inutile du film. Ajoutez à cela un demi-frère cyclope pour un joli pensum sur la tolérance et la fraternité, une prophétie incompréhensible censée donner de la profondeur dramatique au héros torturé et des seconds rôles comiques lourdingues, et l’on comprend mieux pourquoi PERCY JACKSON boit la tasse. Pas cool, pour le fils de Poséidon !
Percy Jackson : La Mer des Monstres
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