Titre original Orage
Date de sortie 7 octobre 2015
Durée 83 mn
Réalisé par Fabrice Camoin
Avec Marina Foïs , Sami Bouajila , Valérie Donzelli
Scénariste(s) Fabrice Camoin, Ariane Fert
Distributeur REZO FILMS
Année de production 2015
Pays de production france
D’après l’œuvre de Marguerite Duras

Synopsis

L’Espagne, l’orage, la chaleur. Le crime, l’adultère, les vacances. Dans un hôtel, on s’arrête pour la nuit, la pluie est bien trop forte pour gagner Séville. Un bruit, un fait divers. Un homme, Nabil Malek, vient de tuer sa femme et l’amant de celle-ci. On le recherche, il est introuvable. Maria, Pierre, leur fille Judith et Louise, une amie du couple, échouent dans cet hôtel. Pour Pierre et Louise, c’est la passion qui s’ébauche... Librement adapté de Dix heures et demie du soir en été de Marguerite Duras, avec l'autorisation des éditions Gallimard.

Toutes les séances de Orage

Critiques de Orage

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Adapté du roman de Marguerite Duras, "Dix heures et demie du soir en été" (déjà tourné par Jules Dassin en 1966), ce premier long métrage met en scène les défaites de l’amour. Celles de Maria (Marina Foïs), alcoolique, qui voit son mariage sombrer. Celles d’un jeune Maghrébin qui a assassiné son épouse française et son amant. Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition.

  2. Première
    par Isabelle Danel

    Adapté du roman de Marguerite Duras, Dix heures et demie du soir en été (déjà tourné par Jules Dassin en 1966), ce premier long métrage met en scène les défaites de l’amour. Celles de Maria (Marina Foïs), alcoolique, qui voit son mariage sombrer. Celles d’un jeune Maghrébin qui a assassiné son épouse française et son amant. Si les raisons qui poussent l’héroïne à sauver le meurtrier donnent le vertige, l’ensemble manque de corps et de punch. C’est dommage car en ajoutant le prisme du racisme et en jouant avec les temporalités (l’action se situe aujourd’hui mais semble hantée par le passé), le réalisateur ne manquait ni d’idées ni d’ambition.