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A travers son entourage qu’il voit enfin dans sa vérité (sa grand-mère âgée, son frère désespéré en dépit de son mariage, sa petite amie), Tano prend conscience de la précarité de sa vie comme de la difficulté d’y échapper. Peu de dialogues, pas de psychologie et beaucoup de naturel : c’est assez pour donner force et authenticité à ce film primé dans de nombreux festivals internationaux. Juan José Ballesta incarne magnifiquement une petite frappe, la vie sur le fil du rasoir brièvement éclairée par son amitié chaleureuse avec un ami d’enfance.
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Si vous adhérez à la théorie qui veut que le désespoir donne des ailes par manque de repères et qu'il faut faire beaucoup de bruit pour grandir, alors, ce 48 heures chrono est pour vous...