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Caméra coup-de-poing, brutalité sèche et éclairs de violence: Le Serpent est d’abord un pur exercice de style et Éric Barbier bastonne le spectateur à coups de plans léchés et d’uppercuts sensoriels ultraréférentiels (Hitchcock, De Palma, Les Nerfs à vif, de Jack Lee Thompson...) Dans toute cette avalanche de néopolars français, Le Serpent est sans doute celui qui a le plus de style. (…) un bon thriller...
Toutes les critiques de Le Serpent
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le Serpent inocule son venin. Héros hitchcockien par excellence Attal impressionne, sans viser la performance.
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Eric Barbier (…) signe ici un thriller honorable servi par une distribution séduisante. (Il) sait instaurer un climat, mais au service d’un scénario qui, trop vite, perd sa crédibilité et dérape dans le grotesque, comme trop de polars hollywoodiens.