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"The Interview" lutte pour vraiment mettre en lumière des aspects de ce cauchemar dépassant la fiction qu'est la Corée du Nord. Mais sa tentative est admirable. Ce film mérite d'être vu.
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Farce potache qui ne recule devant rien, "L'interview qui tue", malgré quelques gags lourdauds, s'avère tout de même très drôle.
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"The Interview" conforte Rogen à la place de comédien populaire le plus ambitieux d'Hollywood.
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Inclassable, inconscient et schizophrène, le nouveau film du trio Rogen-Goldberg-Franco ne vaut pas tant pour son potentiel comique très inégal que son euphorisante liberté.
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C'est stupide et de mauvais goût. (...) Je sais tout ça. Mais la tentative de Rogen de tout mettre en oeuvre pour faire glousser et démolir ces conneries de dictatures vaut la peine de se battre. Que Kim aille se faire voir s'il ne peut supporter une blague.
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C'est sans aucun doute grossier et puéril. Environ la moitié des blagues sont ratées. Mais c'est un vrai travail sauvage.
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Le film n'est pas une arme dangereuse ou un outil de propagande anti-Coréen. Il tue oui, mais par son humour.
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Le film ne répond évidemment pas aux promesses de grand brûlot subversif. Mais, à condition de la considérer comme un long sketch potache entre sales gosses, il se regarde malgré tout sans déplaisir.
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Je déteste dire ça, mais ce film n'est même pas la moitié de satire qu'il aurait pu être.
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"L'Interview qui tue !", c'est le combat des LoLcats. Une comédie atrocement grossière mais parfois très drôle, surtout quand Rogen et Franco, qui joue un abruti fini, sont les victimes de leurs vannes régressives.
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Un film entre satire réjouissante des médias et vision caricaturale (à tendance scatophile) de la géopolitique mondiale.
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Certes, ce n’est pas un chef-d’œuvre. Mais qui nous avait promis une telle chose ? Il est absurde, déconnant, sur une base comique parano-scato qui a fait ses preuves. Il fait rire une fois tous les quarts d’heure, sourire le reste du temps.
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Cette pochade est parfois fort drôle. Mais de là à la qualifier de brûlot, il y a une crevasse. Celle qui sépare la grâce intemporelle d’un Charlie Chaplin des sympathiques pantalonnades des Charlots.
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Ni un chef d'oeuvre absolu, ni une daube effroyable. Plutôt une farce sans prétention, avec ses morceaux de bravoure... et des moments embarrassants. (...) La caricature est grossière, voire simpliste. Peut-être même déplacée. Mais par les temps qui courent, il est bon de rappeler qu'elle ne fait de mal à personne.
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Qualifier ce film de satire magnifie la réalisation du très stupide faux assassinat du leader nord-coréen Kim Jong Un, bien plus que ne le mérite le film.
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L'extrême piètre qualité de "The Interview" est emblématique de l'état d'esprit qui a fait naître ce film et les crises qui l'accompagnent.
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Ce film a la moyenne comique d'un sketch médiocre du "Saturday Night Live".
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Peut-être aimerez-vous "The Interview" - si vous pouvez le voir un jour- autant que certaines personnes le détestent ou le craignent. Mais si vous vous attendiez à une convaincante satire politique, vous vous êtes faits avoir.
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Un nanar bas de plafond de la plus grande navrance. Il ferait passer un sketch de Jean-Marie Bigard pour du Billy Wilder, un concours de lancer de crottes de nez pour une finale de Wimbledon.
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Paresseuse, bêtement patriotique, cette comédie peine à masquer, sous des effets tapageurs, son manque d'originalité.
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Question subversion, il faudra certainement mieux passer son chemin, car la bande à Rogen ne fait qu’empiler des gags scatologiques et sexistes (voir notamment les minables petits rôles réservés à la gent féminine) qui ne font plus rire qu’eux-mêmes, et représentent le degré zéro de la provocation.
L'Interview qui Tue