Titre original L'Epée et la Rose
Date de sortie 20 juillet 2011
Réalisé par João Nicolau
Avec Manuel Mesquita , Luís Barreto , Nuno Pino Custódio
Distributeur StudioCanal
Année de production 2011
Pays de production FR
Genre Film d'aventures

Synopsis

Manuel a 31 ans et travaille comme journaliste free-lance. Il habite dans un quartier populaire de Lisbonne, où les maisons – aussi vieilles et décrépies que leurs habitants – sont bien meilleur marché. Son quotidien est solitaire et répétitif, dû aux petits boulots qu’il se voit obligé de faire et dont il s’acquitte sans grande motivation face à l’écran de son ordinateur. Il n’est pas le plus heureux des jeunes hommes mais, malgré tout, n’est pas un sauvage non plus: il a des amis, une petite copine, une femme de ménage et un inspecteur des impôts.Les objets avec lesquels il remplit chaque jour un vieux coffre rouge, la visite éclair à un laboratoire clandestin et son enthousiasme à recevoir certains messages cybernétiques sont les signes d’un plan en marche. Après avoir trouvé un nouveau maître pour son chat et s’être soumis à un insolite test d’épreuves physiques, c’est sans aucun drame ni émotion qu’il annonce à sa famille son départ pour une durée indéterminée.N’emportant que le précité coffre, c’est en taxi qu’il se rend jusqu’à une crique au Nord de Lisbonne où il embarque sur le Vera Cruz, une caravelle océanique portugaise du XVe siècle, c’est avec plaisir qu’il se dédie à la vie en mer selon les seules lois valides à bord et qui ne sont autres que celles de la piraterie…

Toutes les séances de L'Epée et la Rose

Critiques de L'Epée et la Rose

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Découvert en 2006 à la Quinzaine des réalisateurs avec son court métrage Rapace, le Portugais João Nicolau confirme qu’il a les clés d’un univers à part. D’un labo où se fabrique une substance étrange, on passe au quotidien d’un jeune Lisboète qui s’ennuie, joue avec son chat ou répond en chansons à son inspecteur des impôts. Mais, en devenant film de pirates, L’Épée et la Rose vire au n’importe quoi. Tournée au fil des envies, cette partition évolutive aurait gagné à être resserrée. Pourquoi le monteur de João César Monteiro se montre-t-il si complaisant envers lui-même ?