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Bien écrit et dialogues encore une fois bien fun. Mais le finale manque de souffle (comparé au premier) et c’est très brouillon au niveau de la mise en scène surtout lors des scènes de fight.
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Avec sa bande de branquignols masqués décalés (Chloë Moretz et Aaron Taylor-Johnson en tête), ce second épisode continue de revisiter, avec un humour potache et à la sauce Tarantino (violence cartoonesque et langage très cru), l’univers des super-héros. Sans pour autant se renouveler.
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Bêtement satisfait par son recueil de mauvais sketches, le film se passe de toute problématique, convaincu que la “normalité” de ses personnages suffit à les priver de substance : antihéros que, malgré son apparente bonté d’âme, il regarde avec le plus grand dédain.
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Allez-y si le cœur vous en dit, en sachant tout de même que c'est non seulement parfaitement débile, mais que c'est aussi d'une vulgarité confondante.