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Vingt ans après, la magie de « Jurassic Park » est toujours là. Comme pour « Titanic », on découvre en 3D un autre film, qu’une nouvelle génération va voir pour la première fois. Celle qui a acclamé en 1993 l’un des films les plus impressionnants de Spielberg le redécouvrira à partir d’aujourd’hui dans un écrin tout neuf.
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C’est frissons garantis avec du relief souligné par une palette de couleurs enrichies et des séquences d’un réalisme accompli. La magie de cette opération prend bien sûr toute sa dimension sur le grand écran (...)
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Ce plaisir, à la fois ludique et masochiste, d'avoir peur, est parfaitement distillé tout au long des deux heures de Jurassic Park. Il a hanté et enchanté plus d'un imaginaire, et force est de constater, qu'au jour d'aujourd'hui - avec 10 ans de plus -, je le recherche encore.
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On replonge avec émotion dans ce film d’aventures captivant, qui fête ses vingt ans mais n’a pas pris une ride. Le relief est particulièrement vertigineux quand il donne davantage de profondeur aux paysages, et spectaculaire lors des scènes d’attaque. Superbe.
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En grand maniaque du détail, non seulement Spielberg n’a rien laissé au hasard mais aussi – et tant mieux - s’est fait plaisir. En rajoutant ici (plus de pluie dans la scène du T-Rex) ou là (des écorces d’arbres qui vous sautent à la figure à la fin de cette même scène), on a la nette sensation que le danger est partout et a pris une toute autre dimension. Le clou du spectacle étant la séquence des vélociraptors dans la cuisine. Joyeux anniversaire.
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Les effets spéciaux sont sidérants. Frissons (de peur et de plaisir) garantis.