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Un leader charismatique et le meilleur vendeur que l’industrie n’ait jamais connu.
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Tout comme l’homme, le film est clair, sans prétention aucune mais il ne cesse de vous surprendre par ses idées et son côté novateur.
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Loin de la bombe attendue mais on retrouve quand même toute la lueur et le génie de Steve Jobs.
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Un biopic très respectueux envers celui qui a été l’icône de la technologie, un film très engageant.
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Une biographie sans grande saveur du créateur d'Appel. Le film à pourtant le mérite de ne jamais verser dans l'hagiographie. Mais pour incarner Steve Jobs, le choix d'Ashton Kutcher, n'est pas des plus heureux.
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Si vous vous sentez d'attaque pour supporter deux heures durant le roi des geeks, alors foncez, au moins vous serez au frais...
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On a l’impression de voir une longue pub pour « Apple » avec des potins en prime, très peu divertissants.
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Ce biopic ne cache rien des sautes d’humeur et de l’exigence de l’icône d’au moins deux générations d’adeptes de l’ordinateur. Une vie aussi ample (même coupée net par un cancer à 56 ans) ne peut se résumer en 2h07. Il y a donc des trous – peu sur l’enfance, rien sur Pixar – et pourtant des longueurs, dues à une mise en scène paresseuse. Mais la bonne surprise vient d’Ashton Kutcher, parfait dans le rôle.
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Un traitement fade et insipide sur une personnalité profondément complexe.
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usque-là, Ashton Kutcher émargeait surtout aux pages people. (...) A priori, un choix étrange, même si ce biopic retrace de manière convaincante les débuts du fondateur d'Apple. Mais l'acteur, qu'on dit passionné de technologie, accède enfin à un véritable rôle, celui du gourou de l'informatique moderne : tour à tour chaleureux, obsessionnel, irrésistible, colérique, dictatorial, autiste et manichéen, toujours avec cette démarche de lémure dégingandé qui le caractérisait.
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"Jobs" est le récit d'une success-story filmé sans génie, mais qui a l'intelligence de ne pas jouer l'hagiographie. Avec Ashton Kutcher, parfait.
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Une belle opportunité manquée.
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Ce film évite les clichés de l’hagiographie mais il révèle tout de même la vie de Jobs de manière insipide.
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La performance principale n’est pas à la hauteur du personnage.
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Kutcher n’a aucun talent d’acteur quand il s’agit d’interpréter un rôle sérieux.
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Il y avait un manque chez Steve Jobs que Kutcher n’a pas cherché à combler.
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Après un petit moment, on se détache complètement de ce qu’il se passe.
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On sait que la carrière de Jobs n’a pas été marqué par des conflits impressionnants mais le personnage était il si ennuyeux ?
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Souffrant d'un manque de moyens, et surtout de l'interprétation assez terne d'Ashton Kutcher, cette biographie évite les pièges de l'hagiographie, mais apporte peu sur ce personnage. Dans le genre, The Social Network, de David Fincher, sur Mark Zuckerberg, l'inventeur de Facebook, était nettement plus captivant.
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En tentant d'éviter l'hagiographie, Joshua Michael Stern a réalisé un film trop distant sur le cofondateur d'Apple.
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A rebours du virtuose Social Network, qui faisait de Mark Zuckerberg une figure mystérieuse, Jobs donne du défunt patron d'Apple (incarné par Ashton Kutcher) une image lénifiante, hagiographique.
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«Jobs», c'est un récit réalisé de façon linéaire qui glorifie un peu trop l’inventeur visionnaire de l’iPod, évinçant les aspects controversés du personnage.
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Si Steve Jobs avait été le producteur du film, il l’aurait immédiatement renvoyé au labo pour le rebosser.