Enragés-
Pour son premier long métrage, Eric Hannezo est habile dans l’hommage et le détournement, même si le fond du film a perdu son sel déviant.
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Pour son premier long métrage, Eric Hannezo est habile dans l’hommage et le détournement, même si le fond du film a perdu son sel déviant.
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Si on aime les intentions, le résultat frôle la cata. N'est pas Tarantino qui veut.
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Même les acteurs de talent (Lambert Wilson, Guillaume Gouix...) sont mauvais.
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Même les acteurs de talent (Lambert Wilson, Guillaume Gouix...) sont mauvais.
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A la différence de son modèle qui reflétait un certain état de violence, de désillusion et d’anomie caractéristique de l’Italie des années 1970, ce remake, dépourvu du moindre ancrage politique ou social, traduit une vision du monde où l’homme est réduit à ses pulsions animales.
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A la différence de son modèle qui reflétait un certain état de violence, de désillusion et d’anomie caractéristique de l’Italie des années 1970, ce remake, dépourvu du moindre ancrage politique ou social, traduit une vision du monde où l’homme est réduit à ses pulsions animales.
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Si on aime les intentions, le résultat frôle la cata. N'est pas Tarantino qui veut.
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