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Ce monde, frappé par ISIS, Ebola, une diminution des fonds de retraite et de nombreuses sécheresses, avait en quelque sorte besoin de ce film.
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J'ai beaucoup ri devant ce film, peut-être même plus que devant le premier opus que j'ai adoré.
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Grâce à un script bien ficelé et un Jim Carrey très en forme, le rire est au rendez-vous.
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Digne successeur de son grand frère, "Dumb & Dumber De" ne révolutionnera pas le cinéma et tel n'est pas son but. Il n'en demeure pas moins excellent. Autant de bonne humeur et d'amour en si peu de temps, c'est rare et précieux. Les frères Farrelly viennent de nous offrir un très, très beau cadeau de Noël.
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Le film n'apporte rien à la gloire de Jim Carrey si ce n'est la preuve qu'il joue toujours à la perfection les abrutis grimaçants.
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Rarement drôle et souvent ennuyeuse, cette suite sortie 18 ans trop tard est d'une puérilité pure.
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Les Farrelly ne voient toujours pas un film comme une oeuvre visuelle. Quand Lloyd et Harry ne se frappent pas ou ne font pas tomber leur pantalon, vous pourriez tout aussi bien écouter une pièce de théâtre diffusée à la radio. , New York Times.
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Ce qui était irrévérencieux et subversif en 1994 semble juste vulgaire, haineux et sans intérêt aujourd'hui.
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Le plus triste avec "Dumb and Dumber To" n'est pas qu'il n'arrive pas à la hauteur de "Dumb and Dumber" mais qu'il est même moins bon que "Dumb and Dumberer : quand Harry rencontre Lloyd."
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Plus c’est long, plus c’est con, meilleur c’est. Tel est, depuis toujours, le leitmotiv des Farrelly, et il est ici poussé à son point de non-retour.
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Jim Carrey se plonge avec délectation dans la comédie burlesque et extrême et flirte avec les blagues sexuelles et la scatologie.
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Construit comme le premier comme un vrai-faux road movie, le film égrène les situations aberrantes, les gags étirés à rallonge, les dérapages verbaux et corporels. Il vise littéralement à épuiser la raison du spectateur. Le rire nous surprend malgré nous, malgré les réticences, malgré la laideur.
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Si quelques gags bien troussés sont suffisants pour vous faire apprécier une comédie, il se peut que "Dumb and Dumber" sache vous plaire. Sinon il vous faut certainement éviter cette suite remâchée d’un classique cinématographique de l’humour américain, sûrement surcoté, qu’on aurait dû laisser vieillir en paix.
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Le temps peut être cruel, tout spécialement pour les suites.
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Sur 5 blagues, 4 n'ont pas fait rire le public à l'avant-première. Si "Dumb et Dumber De" était un comédien de stand-up, il dirait : "Est-ce un public ou une peinture à l'huile ?" Il quitterait la scène en pleurs.
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Recyclant des gags de leurs films passés, palliant leur manque d’inspiration par des références à la culture pop qui tombent comme un cheveu sur la soupe, les frères Farrelly semblent tellement anxieux de combler le vide qu’ils surcompensent, finissant par faire un film de près de deux heures. C’est trop.
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Ce film n’est rien d’autre que le résultat d'un épuisement créatif et d'un certain désespoir.
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Ce qui était rafraîchissant dans "Dumb and Dumber" de Peter et Bobby Farrelly, avec le duo Carrey / Daniels s'inspirant de Jerry Lewis et des Stooges, semble étrangement démodé deux décennies plus tard.