Cookie

Cette jolie comédie familiale à le mérite de ne jamais prendre nos sentiments en otage. Grâce au charme et à la complicité du duo formé par d'Alice Taglioni et Virginie Efira, on passe un agréable moment, ponctué d'une touche d'émotion.

Cinq ans après Notre univers impitoyable, Alice Taglioni retrouve la réalisatrice Léa Fazer pour cette comédie où elle joue finement sa partition, passant de l’indifférence à l’attendrissement, tout en formant avec Virgina Efira un duo de choc, glamour et tenace à souhait. Autour de sujets graves, le deuil et la détresse d’un enfant, l’aventure, plutôt rocambolesque, réussit le délicat pari d’être drôle, touchante, d’une énergie folle et pour tout public.

Un film entre rire et larme. Deux beaux portraits de femmes et un duo de comédiennes sympathiques au diapason.

Cookie, c’est surtout l’occasion d’apprécier à l’œuvre deux des meilleures comédiennes de comédie du cinéma français.

« Cookie », est une jolie comédie romantique qui retombe sur ses pattes après avoir joué avec le vraisemblable. Le duo d’actrices fonctionne à merveille. D’un côté Alice Taglioni (Adeline), juste et mesurée en dépit d’un scénario qui croise sa propre histoire, de l’autre Virgine Efira (Delphine), au charisme et à l’énergie épatants.

Un film sympa mais anecdotique, malgré la joyeuse et tendre complicité des deux héroïnes.

Cookie est une petite fable urbaine touchante, fragile.

Aussi prévisible que tartignolle, cette comédie dramatique sur fond social aligne les clichés, accumule les invraisemblances et dégouline de guimauve. Indigeste.

Sur le papier Cookie est une jolie histoire mais sur écran c'est autre chose... Heureusement les acteurs sauvent le tout et nous arrachent tout de même quelques sourires.

L'ensemble paraît très peu crédible. Malgré le charme des actrices, on ne déguste pas ce Cookie comme on l'aurait souhaité.

Il faut avoir une grande foi en l'humanité pour rester jusqu'au bout de ce film pétri de bons sentiments

« Rions un peu des chinois », ainsi pourrait-on synthétiser l’essence comique de cette zèderie télévisuelle pensée et conçue comme un épisode de « Joséphine ange gardien » - en plus glauque.