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C'est violent, impertinent, inventif et terrifiant et c'est peut-être le film le plus romantique de l'année.
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(...) résolument musclé, rythmé et sanglant. (...) Sympathique et franchement efficace.
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C'est assez drôle à regarder en grande partie grâce au scénario de Max Landis, dont le talent pour trouver de l'humour en plein coeur d'une crise colle parfaitement avec le style de réalisation cinétique de Nourizadeh.
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Le film se laisse voir. Avec un vrai cinéaste, il eût mérité d'être vu.
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Seule réelle plus-value, la mélancolie qui nimbe cette histoire aussi invraisemblable que tonitruante, dont la seule vertu, mais fort bien travaillée, est de décliner à l’infini les ruses du white trash malingre pour rétamer une armada de machos lobotomisés.
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Le charme du film laisse place aux éclaboussures gores mais Eisenberg et Stewart restent attrayants jusqu'à la fin.
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Après un premier film, "Projet X", qui faisait coexister comédie de mœurs et spectacle de destruction massive, Nima Nourizadeh a cédé aux nécessités du commerce pour se ranger à la norme hollywoodienne.
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Fun!
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À la longue, cela a tendance à devenir un peu monotone et, sans la personnalité à l’Ouest du héros, le charme tendrait à s’évaporer.
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Un film d'action estival divertissant avec quelques rares éclats de rire.
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Laissez votre cerveau dans le hall, au distributeur de beurre pour le pop corn, et profitez.
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"American Ultra" a quelques grands moments, mais c'est majoritairement un gaspillage de bonne herbe et de bons acteurs.
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La tendresse présente dans certaines des premières scènes m'a surpris. Mais ensuite, le gore et le côté caricatural prend le dessus.
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Un mélange des genres moyennement amusant jusqu'à ce qu'il ne pense plus à rien d'autre que basculer dans les profondeurs du gore ostentatoire.
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Les combats sanglants et les personnages très cartoon ne réussissent pas vraiment à faire décoller cette comédie d’action.
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Une idée amusante mais la violence déplaisante et le côté larmoyant tuent efficacement la moindre étincelle comique.
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Au final, "American Ultra" est condamné par son scénario quelconque.
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A la folie et à l’absurdité géniales de "The Big Lebowski", le film oppose une pauvreté accablante et une bêtise branchée en série. Sous couvert d’une imagination débridée et sans bornes, "American Ultra" en caresse en fait le degré zéro.
American Ultra