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22 Jump Street n'et peut-être pas la comédie délirante qui vous donnera des crampes au ventre à force de rire. Mais elle possède indéniablement quelque chose entre les deux oreilles, et elle vous laissera par moments sur le tapis. Et moi, ça me va.
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22 Jump Street est une comédie plus prévisible, mais tout aussi efficace, et si c'est à cause des blagues qu'on rit pendant les 112 minutes du film, c'est à cause de la pertinence de l'observation qu'on s'en souviendra encore longtemps.
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Il n’y avait aucune raison pour que « 22 Jump Street » soit réussi, pourtant tout nous prouve le contraire.
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La saga « Jump street » respecte les règles mais prend toute sa crédibilité grâce à son charme.
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"22 Jump Street" est une comédie en phase avec son temps, c’est cru, fluide et espiègle.
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Scandaleusement drôle ! Une invitation à la rigolade.
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Channing Tatum libéré, Jonah Hill impeccable…Un bijou de comédie pop. Avec "22 Jump Street", encore plus qu’avec son prédécesseur "21 Jump Street", se confirme cette tendance que "C’est la fin" (Evan Goldberg et Seth Rogen) et "La Grande Aventure Lego" (des mêmes réalisateurs qu’ici, Phil Lord et Christopher Miller) avaient déjà amorcée. La comédie se moque désormais allègrement d’elle-même, dans un geste spéculaire proche de celui opéré par "Scream" sur le cinéma d’horreur. (...) Lord et Miller font tourner leur moteur pop à toute allure, ne tolérant aucune baisse de régime, glissant de nouveaux gags dans chaque interstice – au risque du trop-plein. Malin sans être roublard, furieux sans être creux, 2"2 Jump Street" confirme en tout cas que la comédie US a encore de beaux jours devant elle.
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Ne cherchez plus, la comédie US de l'été est là!
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"22 Jump Street", c’est un gag, une vanne à la minute. Une vraie comédie pop détournant les codes du collège et de l’action movie jusqu’à la parodie. La meilleure illustration de ce parti pris ? Le générique de fin composé de teasers des suites potentielles de la franchise qui, aussi délirantes soient-elles, mettent l’eau à la bouche.
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De l'action, des bonnes vannes, du fun : pour tous les fans du genre, c'est la bonne adresse.
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Le premier f lm a récolté 202 millions de dollars au box-office et le deuxième surfe sur l’actu people. On y entend cette réplique improbable dans la bouche de Jonah Hill : “On est Rihanna et Chris Brown, t’es un bon danseur mais des fois t’es méchant.” On y assiste à des attaques de pieuvres, on y cultive l’humour scato comme au bon temps d’American Pie… Retour vers le passé !
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Moins surprenante et moins rythmée, cette suite compense par un flot continu d’idées, une ironie méta et des acteurs fantastiques. « L’an prochain, on redéménage de l’autre côté de la rue, au 23 Jump Street », assure Jenko, annonçant un troisième volet. On a déjà hâte d’y être, en espérant qu’une plus grande rigueur, vitale dans la comédie, soit au rendez-vous.
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Beaucoup mieux que "21 Jump Street", le rythme est régulier, les gags très recherchés et aiguisés.
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« 22 Jump Street » est un copier-coller de « 21 Jump Street », on le sait tous mais c’est ça qu’on aime.
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Phil Lord et Chris Miller savent utiliser la formule qui marche à bon escient.
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Le 2ème meilleur film de l’année pour Phil Lord et Chris Miller (derrière "The lego Movie").
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Le duo Channing Tatum-Jonah Hill s'en donne à coeur joie dans cette comédie explosive et délirante, avec une formidable dernière séquence d'action sur les plages de Mexico.
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Aucune différence entre « 21 Jump Street » et « 22 Jump Street ».
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Une version à la fois décevante et fiable.
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Devenue inévitable dans le monde très impitoyable d’Hollywood, cette suite promettait donc de répondre au besoin de formatage inhérent à toute franchise. En lieu et place, les auteurs ont décidé de se livrer à une mise en boîte permanente de la notion même de suite.
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Avec ses plaisanteries sur l'inutilité de la répétition et l'inefficacité des gros budgets, son utilisation inattendue des clichés sentimentaux pour mettre en scène la relation entre les deux Pieds nickelés, cette suite parvient à justifier son existence. Mais le rythme poussif et les plaisanteries pour initiés (les spectateurs de "21 Jump Street") laissent penser qu'il vaut mieux en rester là.
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Comédie et suite fadasse de flics infiltrés en milieu scolaire. Ce nouveau volet, où les protagonistes noyautent cette fois une fac, évacue les traits les plus séduisants du premier pour n’en retenir que les tours les plus frénético-cyniques. Plus encore que le précédent, le film exhibe sans cesse sa surconscience de son statut de pur produit dérivé au budget regonflé (la brigade du 21 Jump Street a déménagé de l’autre côté de la rue et revu l’enveloppe déco à la hausse). Un décalque à la paresse revendiquée, conçu à la seule fin de reconduire, au son du chant du tiroir-caisse et avec la connivence du public, une recette éprouvée. Efficace, à défaut d’être jamais très inspiré - n’était la brillance désopilante du générique final, ce qui fait un peu tard…
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Cette suite est motivée par l’ambition purement mercantile de surfer sur le succès surprise du précédent épisode, remake moqueur et distancié de l’oubliable série "21 Jump Street". Le spectateur y gagne pourtant le plaisir un rien éventé d’un second degré parodique pas toujours léger mais efficace.
22 Jump Street