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Tout l'intérêt du film réside dans son ambiance tendue, imposée par ce huis clos forcé. Il est renforcé par le jeu impeccable des acteurs, notamment John Goodman,
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Le film a tous les éléments nécessaires d'un thriller psychologique pour qu'il vous mette sur les nerfs et fasse monter la tension d'un cran ensuite.
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Trachtenberg construit patiemment son monde, et les acteurs font un bon boulot en vivant dedans.
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A un moment, le film m'a rendu tellement nerveux que j'ai eu une brève envie de sortir en courant du cinéma. C'est peut-être étrange de dire ça, mais prenez ça comme un compliment : certains bons thrillers marchent ainsi parfois.
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Généreux et sympathique, ce divertissement low cost floue nos perceptions pour entretenir, jusqu’aux ultimes secondes, le mystère qui ceint l’intérieur et l’extérieur des personnages et des lieux. A la fin, c’est le plaisir qui l’emporte.
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Outre la magistrale interprétation de Goodman, on ira aussi voir ce film pour sa réussite dans la conduite d'une tension psychologique captivante.
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La performance subtile de John Goodman est sublimée par une mise en scène efficace.
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Il est fait pour être amusant, efficace et accessible. Il remplit précisément et exactement le contrat et ne donne rien de plus.
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Plus vous en savez sur le film, moins fun il sera.
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J'espère vraiment qu'il y a aura un 11 Cloverfield Lane.
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C'est léger, angoissant, tendu et le rythme est aussi précis qu'une horloge suisse. Mais ce n'est pas aussi effrayant qu'on le voudrait.
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Même si le film aurait bien mieux fonctionné sur un format de 40 minutes qu'avec un long-métrage, Dan Trachtenberg a rassemblé pour son premier long un trio d'acteurs au meilleur de leur jeu. Ils élèvent le niveau.
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Manque un peu de cohérence, même si les effets de surprise sont garantis.
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L’excellent John Goodman, trop souvent sous-employé ces derniers temps, retrouve enfin un rôle à sa démesure en survivaliste forcené.
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10 Cloverfield Lane fleure bon les références à la culture populaire tant des activités ludiques des héros (jeux de sociétés, visionnage de séries B) que dans l’atmosphère fantastique qui nimbe l’ensemble.
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Une semi-suite efficace et sensationnelle qui ne ressemble en rien, du côté de la narration et du style, à son prédécesseur.
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Mais qui a envie de passer deux heures sous terre à bouffer des pâtes en regarde Goodman rouler des gros yeux de parano en mal d’amour avant une scène finale totalement à l’ouest où l’héroïne, drapée dans une combi en plastique de douche, combat un vaisseau spatial à mains nues ?
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Au lieu d'être un film vraiment sauvage et décalé, 10 Cloverfield Lane est une variation de l'école "films d'horreur". Sauf que cette fois-ci, il y a un twist à 180 degrés.
10 Cloverfield Lane