Il tourne en 1968, dans sa ville natale et avec un petit budget, Merci ma tante (Grazie zia), une satire autobiographique qui contient certains thèmes typiques de la contestation estudiantine. L'année suivante, il poursuit dans cette ligne vaguement engagée avec le drame politique Cuore di mamma. Après trois comédies de murs, il obtient en 1973 un grand succès avec Malicia (Malizia), farce érotique qui dévoile la beauté de Laura Antonelli. Il exploite ensuite, sans grande originalité, le même filon : Péché véniel (Peccato veniale, 1973), Scandale (Scandalo, 1976), Nené (1977), Casta e pura (1981), Fotografando Patrizia (1984), la Bonne (1986).