L'enquête sur le décès de Michael Jackson, survenu le 25 juin derneir, avance à grands pas ! Alors qu'on apprenait hier, mercredi 15 juillet, que le Roi de la pop serait bien mort à cause d'une prise de propofol, un anesthésiant dont l'usage domestique est interdit, l'enquête se concentrerait sur un médecin, le Dr. Conrad Murray, d'après TMZ. Ce médecin, qui était présent lors du décès de la star, serait au coeur de l'enquête de la police de Los Angeles, en raison de révélations qu'il auraient faites sur son implication. On ne connaît pour le moment pas le contenu de ses propos. Depuis hier, on sait que l'homicide serait retenu dans cette affaire, involontaire ou pas.Jusqu'à présent, les prescriptions de cinq médecins étaient examinées par la police, qui s'est très vite tournée vers la piste de la prise de médicaments de la star. Des flacons de propofol avaient en effet été retrouvés à son domicile. Les numéros de lots de ces flacons ont certainement aiguillé la police, mais aucune déclaration officielle n'a été faite pour le moment. Seul le chef de la police s'est exprimé il y a quelques jours, indiquant que la thèse de l'homicide n'était pas écartée.Nous vous tiendrons bien sûr informés des suites de l'enquête. Mais pourquoi avoir mis autant de temps ? Il semblerait que le médecin de Michael Jackson ait eu des problèmes en utilisant la ligne téléphonique du chanteur. Dès qu’il a pris conscience que son patient avait fait un malaise cardiaque, il a tenté de joindre les secours. Seul problème, le Dr. Murray n’a pas réussi à quitter la ligne sécurisée et à appeler à l’extérieur. Il aurait donc décidé d’émettre l’appel depuis son téléphone portable. Mais là, nouveau gros souci, le médecin n’aurait pas su donner l’adresse exacte du chanteur aux secours. Tout ce temps perdu aurait-il pu sauver Michael Jackson ?
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