Lumière et Big Ben désespèrent d’avoir été transformés en meubles Ikea.
Pour préparer la sortie de la version live de La Belle et la Bête, vendredi aux Etats-Unis et la semaine prochaine en France, Screen Junkies a imaginé la bande-annonce honnête du dessin animé culte de Disney, sorti en 1992 chez nous. Une histoire de séquestration où une femme est enfermée par un monstre jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de lui. Une critique "facile" ? Peut-être, mais aviez-vous remarqué que La Belle et la Bête "est devenu le premier film d’animation à être nommé à l’Oscar du meilleur film tout court, et qu’il a perdu face à une autre histoire totalement malsaine, Le Silence des Agneaux ?", s’amuse la voix-off. Vu comme ça...
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Comme avec d’autres Disney (le Honest Trailer du Roi Lion est exceptionnel, par exemple) l’équipe s’amuse à parodier les chansons. Les titres phares changent alors totalement de sens : Belle déteste son village dans son morceau d’ouverture, puis se demande si elle pourrait coucher avec la Bête dans "Je ne savais pas" avant que Madame Samovar supplie "que quelqu’un appelle la police" pour délivrer la jeune fille dans "Histoire Eternelle". Mais ce sont surtout les objets qui en prennent pour leur grade. Ces "esclaves" qui au lieu de chanter "C’est la fête" se plaignent d’avoir été transformés "en meubles Ikea". D'ailleurs, qu’est-il arrivé aux vrais objets du château ? Et si les employés ont tous été transformés en même temps que le méchant prince, et que l’aile gauche de sa demeure est remplie de babioles cassées, cela signifie que certains serviteurs sont morts ? "Mon Dieu, que ce film est tordu !", s’exclame le narrateur. La vidéo s’arrête aussi sur le cauchemar quotidien du serviteur transformé en toilettes, et conclut sur Zip est ses dizaines de frères et sœurs qui sont forcés de dormir dans le placard de la cuisine.
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Voici la bande-annonce de La Belle et la Bête version 2017. Les objets, doublés par Ian McKellen, Ewan McGregor, Emma Thompson ou encore Stanley Tucci, y seront-ils mieux traités ? Et Belle, interprétée par Emma Watson, sera-t-elle toujours victime du syndrome de Stockholm ? Réponse à partir du 22 mars au cinéma.
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