Après avoir fait ses classes à la télévision, et signé quelques films de petite envergure dont Fanatic (1965), adaptation de Richard Matheson, Narizzano obtient un succès commercial considérable et inattendu avec une comédie anodine, Georgy Girl (1966), réalisée en Grande-Bretagne. Les États-Unis lui confient alors un ambitieux western, El Gringo (Blue, 1968), qu'il est incapable de simplifier et de détourner de la prétention. Depuis cet échec et après avoir réalisé un autre film, le Magot (Loot, 1971), Narizzano est alors retourné à la télévision.