Après Gad Elmaleh, Valérie Lemercier ou encore Antoine de Caunes, c’est la pétillante actrice belge qui endossera le rôle de maîtresse de cérémonie des César le 28 février prochain. Un défi qui la ravit et la stresse comme elle l’a confié à TV Grandes Chaînes.
Césarisée à deux reprises en 2003 et 2006 pour L’Auberge espagnole puis Les Poupées russes, Cécile de France s’apprête à faire son retour le 28 février prochain sur la scène du Théâtre du Châtelet dans un rôle inédit pour elle : maîtresse de cérémonie. Choisie pour succéder à Antoine de Caunes, elle a la difficile mission de réveiller et animer une cérémonie parfois bien éteinte. Un défi qu’elle prépare déjà depuis plusieurs semaines. Elle a ainsi confié à TV Grandes Chaînes : "Je m’y investis comme je le ferais pour un rôle. (…) On ne se jette pas dans l’arène en improvisant. Heureusement l’équipe qui m’entoure est talentueuse et bienveillante. Mais le 28 février, c’est seule que je monterai sur scène. Et là ; je n’exclus pas d’avoir un trac incommensurable !"Passer après Gad Elmaleh ou encore Valérie Lemercier ne la rassure pas non plus. Elle avoue ainsi : "Passer après Antoine de Caunes, Valérie Lemercier et Gad Elmaleh n’est pas simple parce qu’ils sont à l’aise dans cet exercice. (…) J’ai tout de suite songé à ceux qui avaient présenté la cérémonie avant moi et ça m’a donné le vertige. (…) J’ai bien conscience qu’il va falloir que je sois drôle, mais ça n’aurait aucun intérêt que je sois dans le même registre qu’eux. Donc ça sera ce que ça sera ! J’ai la volonté d’être sincère et de rendre la fête joyeuse."Jouer les maîtresses de cérémonie n’est pas une première pour elle. En 2005 déjà, elle avait tenu ce rôle pour le Festival de Cannes. Un exercice plus difficile pour elle que les César : "J’étais impressionnée à Cannes en 2005. Avec tous ces réalisateurs et talents américains, j’avais le sentiment que le monde entier me regardait. Le 28 février, je vais avoir le trac, c’est certain, mais je me sentirai peut-être plus rassurée, parce que les visages qui seront là, en face de moi, me seront familiers. »
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