Élève (au Conservatoire de Paris) d'André Gédalge, premier grand prix de Rome, la notoriété lui vient tôt, et avec elle les charges officielles. Attiré par le cinéma, il compose des partitions architecturées, brillantes et dont la marque demeure personnelle. Il colore avec un goût très sûr les ambiances étranges de Duvivier (les Cinq Gentlemen maudits, 1931 ; Golgotha, 1935 ; la Charrette fantôme, 1940) ; de G. W. Pabst (Don Quichotte, 1933) ; de Maurice Tourneur (les Deux Orphelines, 1933 ; Knigsmark, 1935) ; de Chenal (l'Homme de nulle part, 1937 ; la Maison du Maltais, 1938). Citons encore l'une de ses dernières musiques de film, celle du Macbeth de Welles (1948).
Nom de naissance | Jacques Ibert |
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Naissance |
Paris, France |
Décès | |
Profession(s) | Musique |
Avis |
Biographie
Filmographie Cinéma
Année | Titre | Métier | Rôle | Avis Spectateurs |
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2015 | Les Deux Orphelines | Compositeur | - | |
2015 | Invitation À La Danse | Compositeur | - | |
1955 | Marianne de ma jeunesse | Compositeur | - | |
1948 | Macbeth | Compositeur | - | |
1948 | Macbeth | Compositeur | - |