Passées la quarantaine, nombreuses sont les actrices hollywoodiennes à se chercher une reconversion, affolées par l'arrivée de la nouvelle génération. Et après Gwyneth Platrow et ses conseils de cuisine bio-végétarienne-sans gluten-sans goût (It's All Good), Jessica Alba et ses conseils écolos dans son livre The Honest Life, Eva Longoria et ses recettes 100 % mexicaines (Eva's Kitchen) aujourd'hui c'est au tour de Cameron Diaz, 41 ans, de la jouer lifestyle gourou en publiant son premier livre bien-être The Body Book.Et dans cet ouvrage très culpabilisant, en plus de nous gaver de conseils nutritionnels et de conseils de vie, la belle quarantenaire nous fait l'apologie des poils pubiens dans un chapitre sobrement intitulé "L'Apologie du pubis". Exit l'épilation intégrale et autre rasage intempestif, Cameron prône dans ces quelques pages le retour à une mode qu'on pensait passée de mode : la tonte année 70. Un extrait parmi tant d'autres : "J’ai appris qu’il y avait de très nombreuses jeunes femmes qui se faisaient épiler au laser en ce moment. Personnellement, je pense que l’épilation définitive est une idée folle. Pour toujours ? Je sais que vous pensez certainement que vous porterez le même style de chaussures ou de jeans toute la vie, mais c’est faux. L’idée que les vagins sont mieux sans poils est un phénomène récent, mais les modes changent."Et peu avide de confessions, il suffit de feuilleter quelques pages du dit-livre pour découvrir un véritable journal intime de la blondinette : son adolescence, son addiction à Mac Donalds et autre burgers graisseux, son acné, le botox ("J'ai essayé, ça m'a fait une tête bizarre, je ne recommencerai plus") et son spleen de teenager. Bien loin de son image hollywoodienne-ment glamour d'aujourd'hui, plus jeune Cameron souffrait d'un véritable manque de confiance en soi, du à une acné juvénile très marquée. Elle se confie et explique son mal-être de jeunesse : "J'étais couverte d'acné, d'horribles boutons purulents qui faisaient très mal. Je n'osais même pas sortir de chez moi. Aucun fond de teint ne pouvait cacher ne pouvaient les cacher. J'étais si malheureuse".Et quand on admire aujourd'hui sur red carpet l'assurance torride et glamour de l'actrice on a du mal à l'imaginer toute maigrichonne et complexée mais Cameron Diaz nous aide à visualiser : "Si vous êtes ce que vous mangez, et bien à l'époque je ressemblais à un burrito avec supplément fromage et extra sauce". Chic.Mais rassurez vous, pauvres adolescents boutonneux, si vous aussi vous souffrez de ce vice dermatologique, sachez que gourou Cameron a la solution : "Le vendredi soir j'avais l'habitude d'aller me commander un double cheeseburger avec frite et rondelles d'oignons grillées. J'étais l'image même de la gamine maigre mais avec une mauvaise hygiène de vie. Et tout ce qui est gras ou frit, toute cette mal-bouffe était la cause de mon acné".En un mot : Exit junk-food, Exit acné, Bonjour silhouette hot. Merci docteur Cameron Diaz...MC
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