Sifu : le jeu de la mort et du frisson taoïste [critique]
Obsédé par le cinéma hongkongais et les gestes grâcieux, Sifu nous met dans la peau d’un jeune combattant qui enchaîne les dérouillées. Hyper dur, hyper bon.
Obsédé par le cinéma hongkongais et les gestes grâcieux, Sifu nous met dans la peau d’un jeune combattant qui enchaîne les dérouillées. Hyper dur, hyper bon.