- Première
Un vieillard grincheux se réconcilie, paraît-il, avec son passé (ses démons, son fils, sa bataille) grâce au surgissement d’un élément tiers : souvent, un enfant (aux grands yeux mi-innocents, mi-j’ai déjà tout compris). C’est ce que raconte en substance Monsieur Constant, un Gran Torino artisanal posé sur l’île aux moines, qui ne s’épargne ni les clichés, ni les artifices du genre. Faussement tendre.
Estelle Aubin