Toutes les critiques de Le Chemin

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Médecin aisé mais mari en instance de divorce, Theo part à la recherche de son fils, fugueur de 15 ans disparu dans la nature. En sillonnant les routes du Brésil, ce père de famille stressé va surtout effectuer un voyage intérieur et apprendre à mieux se connaître. Brillant moins par son réalisme social que par son onirisme discret (les images d’un adolescent à cheval esquissent par exemple une vision de liberté intemporelle), ce road-movie aux allures de thriller traite avec humilité de renaissance et d’apaisement.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Un road-movie existentiel de bonne facture, porté par l’interprétation juste de Wagner Moura et dynamisé par un vrai sens du suspense. Sympathique.

  2. Les Fiches du cinéma
    par Romain Tourbillon

    À travers un Brésil incandescent, un road-movie initiatique envoûtant mais répétitif, à court de souffle et un peu trop sage pour être totalement convaincant.

  3. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    Entre film d'action, road-movie et récit intimiste, le film peine à trouver véritablement son ton et rate un peu le coche.

  4. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Produit par Fernando Meirelles, ce beau road-movie brésilien évoque, entre thriller et quête intérieure, l’itinéraire d’un homme en quête de son enfant disparu.

  5. Le Monde
    par Sandrine Marques

    En voiture, à moto et à cheval, les protagonistes de ce road-movie existentiel multiplient les vecteurs mais le réalisateur ne trouve pas vraiment celui de notre cœur.

  6. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Ce n’est pas qu’on n’aimerait pas y croire, puisque même les lieux communs sont – ou ont été un jour, dans d’autres films – basés sur une certaine réalité ; ni qu’on n’aimerait pas apprécier les quelques réelles embardées du voyage, (...). Mais l’ensemble relève tellement de l’addition de formules toutes faites, même exécutées avec soin avec une légère esthétisation figurant l’égarement sensoriel (...), que même l’émotion qu’il pourrait véhiculer se trouve contaminée par l’artifice académique – et que quelque part, dans ce voyage, on se sent en meilleure compagnie en restant sur le bord de la route.

  7. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Ce road-movie brésilien commence sous tension. Mais devient prévisible à mesure que le père se rapproche du fils. Et finit par s'envaser dans une mare de bons sentiments.