Toutes les critiques de La Chanteuse de tango

Les critiques de Première

  1. Première
    par Bernard Achour

    C'est un beau sujet (...). Mais, après un début d'une impressionnante solennité, le film n'en finit plus de recycler les figures de style et situations avec une assurance hautaine, complaisante et, à l'arrivée, atrocement ennuyeuse.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Emmanuel Cirodde

    Eugenia Ramirez Mioni illumine de son élégance ce film émouvant aux allures de deuil. Diego Martinez Vignatti fixe cette dérive dans des cadres magnifiques, entre la pureté bleu délavé de l'océan et les atmosphères pourpres des cercles de tango.

  2. Le JDD
    par Carlos Gomez

    Diego Martinez Vignatti, Argentin installé en Belgique, part d’une trame assez simple pour construire un portrait de femme tout en subtilité, aidé par une admirable comédienne, Eugenia Ramírez Miori, qui ne quitte presque jamais l’image.

  3. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Malgré un maniérisme un peu artificiel, le charme du tango baigne cette dérive solitaire de ses résonances émouvantes.

  4. Positif
    par Nicolas Bauche

    La Chanteuse de tango déçoit malgré l’intelligence et la sensibilité du traitement. Cette histoire de rupture et de deuil amoureux pèche par ambition transatlantique. (…) Un film inégal, parfois ennuyeux, dès qu’il s’éloigne de la musique.

  5. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Ce synopsis qui tient sur une pochette d'allumettes devrait sans doute se dissoudre dans une pluie de sensations. (…) Pourtant chaque plan est composé avec un soin exquis et la lumière est souvent belle. Diego Martinez-Vignatti est son propre chef opérateur, une configuration rare. (…) On sent bien ici que les impératifs du cadre et de la lumière ont pris le pas sur la vie organique qui devrait être celle du film.

  6. Nouvel Obs
    par Lucie Calet

    Diego Martinez Vignatti filme les errances de son héroïne dans Buenos Aires avec une élégance manifeste mais, à trop vouloir surprendre (il embrouille à dessein les temporalités), il laisse son spectateur pourtant d’abord acquis sur le bord de la route.

  7. Télérama
    par Blottière Mathilde

    A moins d'être un toqué de tango, on ressortira de ce drame poussif de Diego Martínez Vignatti avec une allergie à Carlos Gardel.