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Le saviez-vous : tant qu’un condamné à mort continue de parler, on ne peut pas l’exécuter. Un pitch d’enfer mais un traitement balourd et schizo.
Toutes les critiques de Dead Man Talking
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un premier film métaphorique et ambitieux, d'une exceptionnelle beauté formelle.
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Une fable singulière qui glisse de la comédie noire décalée vers quelques chose de plus profond et tragique.
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Premier long-métrage de Patrick Ridremont en tant que réalisateur, il y tient également le rôle principal dans une oeuvre original qui séduit par sa noirceur parsemée de tâches humoristiques, le film se présente sous certains aspects comme un miroir de l'être humain où l'homme tente de masquer ce qui le constitue en tant qu'individu à part entière grâce au rire, à la méchanceté ou à la haine
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Voilà une petite perle venue de Belgique et, au passage, une pertinente leçon de cinéma où l'auteur adapte son histoire à son budget - et non l'inverse. Les idées abondent, les comédiens excellent, le cynisme déborde et les surprises ne manquent pas. C'est épatant.
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Trop éclaté scénaristiquement (les jonctions entre la prison et l’extérieur ne forment pas un récit cohérent et fluide), Dead Man Talking perd en unité dramatique ce qu’il gagne grâce à son ton décalé et absurde. Match nul donc pour cette revisitation du mythe de Shéhérazade, trop sage pour aspirer au statut culte d’autres auteurs belges et trop décousu pour être un grand film.
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Ce huis clos carcéral bien ficelé, sombre, angoissant, teinté d’humour par moments, nous tient en haleine jusqu’à la fin. Patrick Ridremont se révèle remarquable dans la peau du condamné à mort et François Berléand épatant en directeur de la prison.
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Patrick Ridremont s’en tire avec les honneurs sur un sujet plein de chausse-trapes. Jusqu’à la dernière minute de son existence, fût-elle minable à ses yeux, il montre comment un homme retrouve sa dignité. Féroce, drôle, émouvant tant qu’il reste en prison, le film perd un peu de sa force dès qu’il franchit les murs de l’enceinte carcérale pour devenir moralisateur.
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Partant d’une idée forte et dérangeante, cette fiction belge de Patrick Ridremont ne parvient pas à s’extraire d’un cinéma de genre à l’atmosphère poisseuse.
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Dans un pays imaginaire, un condamné à mort (Patrick Ridremont) raconte chaque nuit sa vie pour échapper à l'exécution. Une variation déconcertante sur le thème de Shéhérazade, plus bizarre que convaincante.
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Dénonciation de la peine de mort, ce premier long métrage du Belge Patrick Ridremont séduit par son ambiance de cauchemar et son humour noir. Moins par son versant mélo.
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Un condamné à mort raconte sa vie nuit après nuit pour continuer à vivre. Fort de son héritage théâtre, Patrick Ridremont réinvente à sa sauce le mythe de Shéhérazade. Résultat, un premier film qui prend la forme d'une tragi-comédie honorable mais inégale.
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Décalé durant sa première demi-heure, ce premier film à l’esthétique très travaillée se fourvoie dans une caricature grotesque de la vie politique et un symbolisme ringard. Dommage…
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Une fable existentialiste sous perfusion frères Coen (...) Malgré une seconde partie qui s'essouffle, voilà un surprenant film d'art et décès.
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Dans le viseur du réalisateur belge Patrick Ridremont, le cynisme ambiant : talk-shows en quête d’Audimat, politicien crétin, chargée de com véreuse. Mais le programme est un peu court et la réalisation pèse des tonnes.
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Entre Ubu et Kafka, l'ambiance tire-larmes du film et quelques scènes assez glauques qui tournent à vide n'incite guère à apprécier le film, tant les effets sont appuyés et les acteurs mal dirigés.
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Une relecture SF des Mille et Une Nuits avec François Berléand. Gênant.
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Voilà un cas assez typique de film qui, fort d’une bonne idée de départ, ne parvient pas à en décoller.
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On reconnaît volontiers à cette comédie noire belge un ton singulier, mais la mise en scène manque de rythme et le scénario brouillon ne parvient pas à retenir notre intérêt.