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Un homme, puis deux, penchés sur une immense étendue glacée. Que font-ils ? Un autre tombe à l’eau. On dirait du Tati. S’ensuit le treuillage d’une voiture immergée, on ne sait pas trop pourquoi. Va-t-on découvrir des conducteurs gelés à l’intérieur ? Même pas. Le principe d’Aquarela ne saute pas aux yeux. On ne sait pas où l’on est (on le découvre en lisant le dossier de presse : il s’agit du lac Baïkal, en Russie), ni avec qui, ni pourquoi. Ça continue. Le documentaire aligne maintenant des images impressionnantes de fonte des glaces. Aucun commentaire, au spectateur d’imaginer le discours écolo présumé de Victor Kossakovsky, qui filme aussi l’ouragan Irma et les chutes du Salto Ángel, au Venezuela. Un documentaire sur « la force de l’eau dans tous ses états » qui fait plouf.
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Aquarela : l'odyssée de l'eau
Première
(1 critique)