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Ambitieux, grandiose et spectaculaire, le dernier film X-Men remplit toutes ses promesses.
Toutes les critiques de X-Men : Days of Future Past
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ici, pas de pyrotechnie superflue : chaque scène d’action a son utilité narrative, survient au bon moment, sans surenchère et affiche une mise en scène sobre mais pas moins inventive – cf la mise en image des portails créés par Blink. Les mutants y trouvent une puissance d’évocation imparable et DAYS OF FUTURE PAST le cachet d’un vrai divertissement de première classe, rare, solide et élégant, qui devrait lui assurer une bonne place dans les tops 10 de fin d’année. Tout bonnement immanquable.
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X-Men: Days of Future Past est sans doute le meilleur des films X-Men depuis l'origine. Sombre, empreint d'une sourde mélancolie, le film parle d'un temps révolu et se leste d'une profondeur étonnante. Grandiose.
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un vrai casse-tête sur le papier mais un passionnant remue-méninges pour les initiés. Ce nouvel épisode est également l’occasion d’accueillir de nouveaux personnages, dont Lucas Bishop, incarné par Omar Sy. Plus que jamais, Bryan Singer s’impose comme un maestro du flm de super-héros.
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Cet opus reste dans la lignée des autres, à savoir la référence de l'univers Marvel. La finesse des effets spéciaux n'est pas là pour effacer une histoire quelconque ou une interprétation hasardeuse. On ne peut que conseiller ce film. À consommer sans modération.
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Tout est là donc pour procurer un maximum de plaisir. Dommage du coup que Bryan Singer confonde parfois profondeur scénaristique, psychologie des personnages, et sentimentalisme un peu trop appuyé. X-Men: Days of Future Past oscille entre plaquettes de chocolat et ventre mou!
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De James McAvoy, amusant et d’une justesse incroyable dans le rôle du professeur Xavier jeune, à Michael Fassbender, toujours sombre et imposant dans le costume de Magneto, en passant par Hugh Jackman, qui prouve définitivement qu’il est le seul à pouvoir camper Wolverine, l’intégralité du casting quatre étoiles de X-Men Days of Future Past est excellent.(...) Bryan Singer, (...) démontre une nouvelle fois son talent en signant des scènes d’action jubilatoires qui n’en font jamais trop au niveau des effets spéciaux. Le tout toujours saupoudré d’une bonne dose d’humour.
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En réalité, chaque scène mériterait que l'on s'y attarde tant Bryan Singer, réalisateur des deux premiers opus de la saga, a parfaitement réussi ce film choral. X-Men : Days of Future Past est à la fois drôle, épique, émouvant, dynamique, c'est du grand spectacle !
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les X-Men sont devenus les superhéros les plus productifs de l’histoire du cinéma. A l’arrivée de ce septième volet, on craignait l’essoufflement. A tort. Cette nouvelle histoire donne un sérieux coup de fouet à la franchise.
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chez Singer, le grand spectacle n’est pas vain. Le cinéaste s’en sert pour étoffer le propos du film, d’une épatante maîtrise. Comme un Retour vers le futur version superhéros, le scénario joue à fond la carte temporelle et multidimensionnelle (réparer l’avenir en changeant le passé). Et, comme souvent dans les franchises Marvel, la grande Histoire se mêle à la petite. Nixon, l’assassinat de Kennedy, la guerre du Vietnam ont tous, de près ou de loin, quelque chose à voir avec nos X-Men. Pourtant, malgré cette densité, la trame reste étonnamment limpide et fluide.
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La surprise de X-Men le commencement passée, il était évident que l'on attendait fermement Singer au tournant. Résultat : un retour aux affaires pleinement satisfaisant qui démultiplie les attentes pour le prochain et dernier épisode.
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c’est du divertissement solide, bien ficelé, bien casté… mais hypercalibré
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Bref, du lourd pour les fans, du grandiose pour les amateurs de spectaculaire, et, malgré la déception de n’y voir Omar Sy que trois minutes, du grand entertainment !
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Une réussite totale dans l’histoire du film de super-héros qui s’inscrit comme le meilleur Marvel depuis... X-Men : le commencement, en 2011.
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Faire aller et venir ses X-Men dans le temps n'était pas chose facile. Loin de s'y casser les dents, Bryan Singer en profite pour livrer, plus qu'un énième film de super-héros, une véritable oeuvre de science-fiction.
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Voici quatre bonnes raisons, parmi d’autres, de ne pas zapper leur retour. 1 : c’est un pur divertissement, paré d’effets spéciaux bluffants et d’une bonne dose d’humour. 2 : Jennifer Lawrence est fascinante dans la peau de Mystique, la mutante bleu caméléon, finalement plus sensible que les humains. 3 : Peter Dinklage, le nain de la série Game of Thrones, joue le méchant de service. 4 : Bryan
Singer n’oublie pas de délivrer le message cher au créateur Stan Lee : non à toutes les formes de ségrégation. -
Merveille de mise en scène, d’effets visuels et de chorégraphie, la séquence en question redéfinit radicalement le « bullet time » popularisé par Matrix (et employé avec tant de balourdise dans The Amazing Spider-Man 2). Mais les forces dramatiques ne se voilent jamais derrière la virtuosité technique. A ce titre, la première confrontation des jeunes Xavier et Magneto, toute en tensions exacerbées, constitue l’un des points culminants de cet exercice narratif vertigineux, à la fois séquelle de Wolverine : le Combat de l’Immortel et de X-Men : le commencement et préquelle du premier X-Men.
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Ce sentiment de perte qui travaille tout le film, Bryan Singer le traduit par une idée formelle simple et merveilleuse, selon laquelle la fin des pouvoirs des mutants coïncide avec la fin du numérique. Dans deux scènes, qui ouvrent et clôturent l’épisode, un déferlement d’effets spéciaux et de couleurs laisse ainsi place à des plans nus, vides de toute présence, comme des trouées mélancoliques à l’intérieur d’un blockbuster singulier et gracieux.
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Comme le temps, scénario et personnages sont un peu trop morcelés. Mais la mise en scène met une belle part d'enfance dans cette machine hollywoodienne.
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L'humour est de mise, le style façon 70's aussi et quelques brillantes trouvailles (…) viennent agrémenter le récit. Rien de révolutionnaire, bien sûr, mais nous saluerons l'ingéniosité du cinéaste qui trouve le moyen de rebooter une franchise de sept épisodes sans qu'il n'y paraisse rien.
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Rien de bien neuf, sauf la direction musclée de Bryan Singer.
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Bryan Singer conduit ce récit passablement complexe avec une fluidité remarquable et un humour qui manque tant aux productions du même acabit. Le film ne quitte jamais les ornières du blockbuster mais ménage quelques visions plus sombres et déploie par moments une certaine poésie de l'espace-temps devenu malléable, extensible à l'envi.
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Que faire quand une franchise hollywoodienne risque de s'épuiser de lasser, avec ses combats monstres de mutant ? Expédier le héros dans le passé pour tenter de modifier le cours de l'Histoire ! Et hop, c'est reparti pour un tour.
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Une œuvre riche en scènes d’action et en effets spéciaux. Dans la fureur d'une superproduction hollywoodienne, des idées généreuses parviennent parfois à faire entendre leur petite voix…
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Si le choc culturel est l’occasion de quelques blagues plutôt bien senties, l’action, elle, manque d’enjeux. En vieux briscard de la franchise, Hugh Jackman et ses rouflaquettes font le job, mais on regrette qu’il n’y ait pas à ses côtés plus de nouveaux mutants aux superpouvoirs capables d’en mettre plein la vue. On
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X-Men : Days of Future Past succombe, comme beaucoup de films de super-héros, à la tentation d’élargir le cadre hors de toute proportion humaine, au risque de perdre le spectateur en cours de route. Enfin, il serait peut-être temps de rembobiner les Magnéto, Wolverine et Tornade qui, après quatorze ans de services rendus en combinaisons moulantes, commencent à macérer dans le formol de nos dernières VHS.