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Inspecteur à la Crim, Léo plonge dans une noirceur insondable. Sur une trame classique, le troisième film de ce cinéaste belge dégage énergie et personnalité. Jérémie Renier et Natali Broods y dominent une distribution impeccable.
Toutes les critiques de Waste Land
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Peter van Hees a trouvé le secret pour vous tenir en haleine. Son talent est à son paroxysme. Il fait monter petit à petit la pression et vous ne pouvez décoller vos yeux de l’écran. Il est aidé dans son art par l’excellente prestation de Jeremy Renier mais également par la ville de Bruxelles et son décor inquiétant et intriguant.
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Un curieux polar noir. Il ne faut pas plus d'une poignée de minutes à Pieter Van Hees pour déployer d'emblée les codes du genre.
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Malgré une intrigue assez classique, cette descente enfer sort du tout-venant en plongeant à la fois dans la psyché du flic et dans une ville en pleine décadence. Il se dégage un charme vénéneux de ce polar flamand aux saveurs âcres de bière au petit matin.
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Malgré un scénario faisant office de gros point noir du film, la réalisation sobre et appuyée de Van Hees tente toutefois d’instaurer une vitalité dans la quête et la déchéance qui frôle le personnage principal.
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Un film confus et étouffant qui noie le spectateur sous trop de thèmes différents pour le captiver.
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"Waste Land" ne tire guère de la désolation de l’âme qu’une peinture vaguement déprimante mais froide et distante, à la surface de la vérité oppressante de son sujet.
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Polar expiatoire de Pieter Van Hees : dans un Bruxelles à l'ambiance quasi vaudou, un flic (Jérémie Rénier) est contaminé par la violence du monde et le lourd passé colonial belge : beaucoup trop pour un seul homme...
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Chargé d’une dimension onirique, ce polar sophistiqué ne gagne jamais ni en opacité, ni en mystère.
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Entre rituels vaudous, histoire de famille compliquée et attraction sexuelle dangereuse, le film part dans tous les sens et se dilue sans parvenir à captiver.