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À sa sortie de prison, Sam est rattrapé par ses vieux démons et une amitié embarrassante. La présence lointaine de son fils l’aidera-t-elle à surmonter sa descente aux enfers programmés ? Biberonnée aux polars américains, une nouvelle génération de cinéastes français tente de sur-affirmer son amour du genre dans des films “à la manière de” (Scorsese, Mann, Fincher, etc). Dans Voyoucratie, on jure tout le temps, on saigne beaucoup mais ce n’est pas suffisant pour faire passer des vessies pour des lanternes. Autrement dit, Voyoucratie n’est pas Mean Streets, ni sur le fond (plus que banal) ni sur la forme (so 2018, hautement définie mais sans personnalité).