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Il n’y a aucune logique à chercher dans ce premier film sous influence lynchienne qui essaie de se trouver une place entre cinéma expérimental et horreur bricolée. Au spectacle de cette jeune femme hagarde errant dans la campagne, on dirait l’étude psychologique des traumas provoqués par un accident de voiture. Mais c’est peut-être aussi un cauchemar,
ce qui justifi erait les apparitions incongrues de personnages muets et souvent hostiles. Le spectacle est éprouvant, d’autant que la fille ne cesse de crier sur un fond sonore strident.
Toutes les critiques de The Oregonian
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le film est surtout un trip sensoriel, une pure expérience cinématographique dénuée de toute logique apparente. Mais c'est en montrant une nature menaçante et pourrissante qu'il est le plus impressionnant.
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On peut trouver le temps un peu long (malgré la durée réduite du film), mais l'aventure s'avérera au final réjouissante pour les spectateurs-voyageurs.
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Avec "The Oregonian", Calvin Lee Reeder pousse à bout le dispositif stylistique et esthétique de ses courts, au risque de perdre bon nombre de spectateurs en cours de route. Vaste supercherie ou oeuvre géniale, difficile de faire son choix...
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Pour faire court: le pire film de la galaxie.
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Perdue et accidentée, une jeune femme fait de bien curieuses rencontres... Film d'horreur expérimentalo-indépendant, maladroitement inspiré de David Lynch.