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Plaqué par sa copine et ses différents groupes, un guitariste au bout du rouleau rencontre un illuminé persuadé qu’il est né pour révolutionner la musique. La route va être longue... Avec ses hipsters rêveurs, sa mélancolie foutraque et sa bande-son carburant au folk lo-fi, le premier long de l’acteur Ryan O’Nan présente tous les symptômes d’une «sundancerie» en règle. Ça ne l’empêche pas d’être régulièrement attachant, mais soyons honnêtes : Garden State peut dormir sur ses deux oreilles.
Toutes les critiques de The Brooklyn Brothers
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Auteur-compositeur, Ryan O’Nan explore avec The Brooklyn Brothers, l’élan et la tourmente musicale d’un artiste en éternel devenir. Léger et substantiel à la fois.
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Voici donc deux ados, deux foutraques, deux dingues cernés par le réel. Ils vont dans le mur, tout droit. Et c'est un grand bonheur de les accompagner.
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Si l'intrigue ou le personnage principal sombrent souvent dans les images d'Epinal les plus prévisibles. The Brooklyn Brothers parvient tout de même à affirmer son charme.
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On a déjà vu cette variété de comédies ricaines-indé-décontractées mille fois. Alors pourquoi pas une mille et unième ?
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Pour son premier film, Ryan O’Nan signe un road movie attachant à défaut d’être original.
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Il gratte sa guitare dans les rues de New York en attendant de devenir star de la pop, galère et désespère, puis trouve un autre musicien qui y croit pour deux... et les voilà sur les routes. Ecrite à la va-comme-je-te-pousse, cette comédie au bord de la déprime fleure bon le vécu et sonne souvent juste.
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O’Nan se pose exactement au niveau de ce qu’il filme, et de son honnêteté finissent par naître quelques très belles scènes, dont l’écriture d’une chanson en direct par un tonton et son petit neveu. Cutie.
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L'enthousiasme de deux comédiens chanteurs force la sympathie pour cette histoire qui ne révolutionne pas le cinéma, mais laisse comme un goût de friandise douce-amère dans la bouche.
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Un road trip riche en amours, engueulades, belles rencontres et remises en question existentielles. Et c’est avec ce scénario prévisible que Ryan O’Nan se lance dans sa première réalisation. Cette balade musicale réussit néanmoins à faire sourire et à émouvoir, grâce à une bande d’acteurs décalés qui parviennent à incarner parfaitement la crise de la trentaine, et aux morceaux des Brooklyn Brothers, définis comme « un mélange des Shins et de la BO de 1, rue Sésame ». À l’arrivée, une jolie « bromance » en musique.
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Le truc ne vole jamais très haut, puisque les héros sont en voiture, mais il se regarde, et s'écoute aussi.
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Ce premier film est animé d'un sympathique et touchant sens de la dérision, mais il ne parvient jamais à prendre une ampleur suffisante pour convaincre.
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C'est loufoque et tendre, les chansons écrites et interprétées par le jeune cinéaste sont légères, drôles et mélancoliques. Une belle virée en voiture et en musique dans le pays de Barack Obama
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L'acteur et scénariste Ryan O'Nan signe son premier film. Son ambition : parler de la difficulté de l'artiste à vivre et à pratiquer son art en l'occurence la musique. Entre désillusions, rencontres improbables et décisions irrévocables, The Brooklyn Brothers nous dresse un portrait du marginal américain moyen : blanc, trentenaire, infantile, raté, toc. Un film qui comme son personnage n'aurait pas dû franchir les frontières.
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Un périple singulier et entraînant en guise de premier long pour Ryan O'Nan, qui, s'il n'en maîtrise pas vraiment les aboutissements, trouve dans son tandem de bras cassés une équipée sympathique aux mélodies atypiques.
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On a vite fait de comprendre que l’ambition de Ryan O’Nan, acteur beau gosse qui écrit et réalise ici son premier film, est plus à chercher du côté de la bluette mélancolique « Once ». Sympatoche mais, somme toute, plutôt insignifiant.