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Un Tarzan moderne en images de synthèse, en 3D et avec des éléments de SF ? Pourquoi pas, même si le roman d’Edgar Rice Burroughs semble avoir été usé jusqu’à la corde par Hollywood. Grâce à un écrin narratif et visuel qui emprunte beaucoup à Avatar, le réalisateur d’Animaux & Cie tente de faire oublier ses maladresses (discours écolo simpliste, voix off envahissante, design des humains assez cheap) par un certain sens du spectaculaire. Du coup, ce Tarzan post-ado virevoltant de liane en liane pour les beaux yeux de Jane a parfois des airs de Spider-Man de la jungle.
Toutes les critiques de Tarzan
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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L’image est reine, mais l’action n’est jamais en reste : un spectacle total avec ce qu’il faut d’émotion, d’humour, d’aventure et de romanesque. Ne manquez pas ce bijou d’animation pour petits, auquel ne résisteront pas les grands !
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Voici une nouvelle version cinématographique du « Tarzan » d’Edgar Rice Burroughs, mais venue d’Allemagne cette fois-ci et dans une magnifique 3D qui, dit-on, t l’admiration de James Cameron. On retrouve la trame du roman sorti en 1912, mais l’univers visuel, il faut le dire, est sous influence d’« Avatar » du cinéaste canadien. On prend beaucoup de plaisir à la projection de ces aventures pleines d’action et dans un magnifique relief.
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Une histoire bien connue, revisitée ici en animation 3D en jouant la carte d’un graphisme plutôt réaliste. Ce qui permet à cette nouvelle adaptation de nous offrir des scènes spectaculaires et de retrouver le souffle des films d’antan, quand Johnny Weissmuller hurlait en noir et blanc.
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Les mouvements des acteurs saisis en Motion Capture dynamisent ces aventures bondissantes.
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La dramaturgie est édulcorée, les enjeux sont pauvres et on déplore même l'absence de Cheetah. Oubliée, avec le reste.
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Hormis quelques paysages grandioses, ce flm d’animation allemand en 3 D est d’un graphisme banal. La naïveté de la version historique avec Johnny Weissmuller a mille fois plus de charme
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Le réalisateur allemand Reinhard Klooss s’attaque à un mythe avec ce Tarzan en 3D et en "motion capture". Johnny Weismuller peut dormir tranquille, cette version ne fera pas oublier son "homme singe" des années 30.
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Tout à la fois hommage fidèle et réactualisation à l'intention du jeune public contemporain, “Tarzan” échoue sur les deux tableaux.
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Seuls les plus petits trouveront matière à s’émerveiller devant cette nouvelle version des aventures de Tarzan, complètement à côté de la plaque.
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Une version moderne sans grande prétention du Tarzan qui a bercé notre enfance. Tarzan a gardé son slip léopard mais a perdu un peu de magie.
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un film d'animation écolo et coloré, mais un peu trop lisse, qui supporte mal la comparaison avec la précédente (et pétillante) version des studios Disney.
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Une relecture de la légende de la jungle Tarzan en performance capture et en 3D. Ni original, ni beau, ni captivant...
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Animation saccadée, personnages qui ressemblent à des clones sortis d'un mauvais jeu vidéo, mais il y a pire : il faut attendre 1 h 10 pour entendre Tarzan pousser son cri. Navrant.
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Tarzan, est une affreuse version des aventures de l'homme singe en motion capture, (logiciel qui permet de recréer via des capteurs placés sur le corps humain un corps en 3D)
