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Sucker Punch signé Zack Snyder est une petite bombe qui ne demande qu’à vous exploser au visage. Le film raconte l’histoire de 5 filles internées à l’asile qui, pour fuir la maison close dans laquelle elles sont retenues, vont affronter des zombies ou des orcs dans un monde parallèle… Vous n’avez pas suivi ? Rien d’étonnant ! Snyder se plaît à perdre son public dans ce récit complètement barré privilégiant les scènes de combats en slow motion avec des nanas ultra sexy (et sexuées) sur une BO rock. Sucker Punch c’est un film fait par un geek pour les geeks (mais pas que) et c’est jouissif !
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Sucker Punch signé Zack Snyder est une petite bombe qui ne demande qu’à vous exploser au visage. Le film raconte l’histoire de 5 filles internées à l’asile qui, pour fuir la maison close dans laquelle elles sont retenues, vont affronter des zombies ou des orcs dans un monde parallèle… Vous n’avez pas suivi ? Rien d’étonnant ! Snyder se plaît à perdre son public dans ce récit complètement barré privilégiant les scènes de combats en slow motion avec des nanas ultra sexy (et sexuées) sur une BO rock. Sucker Punch c’est un film fait par un geek pour les geeks (mais pas que) et c’est jouissif !
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Non content d'offrir un fabuleux film d'action, Zack Snyder joue astucieusement avec différents niveaux de réalité. Histoire d'évasion ultime, Sucker Punch s'impose comme l'oeuvre la plus jouissive de son auteur.
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Non content d'offrir un fabuleux film d'action, Zack Snyder joue astucieusement avec différents niveaux de réalité. Histoire d'évasion ultime, Sucker Punch s'impose comme l'oeuvre la plus jouissive de son auteur.
Toutes les critiques de Sucker Punch
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Oubliez l’univers de Tron l’héritage, le nouveau film de Zack Snyder repousse encore plus loin les limites de l’imaginaire. (...) Pendant près de deux heures, Sucker Punch multiplie ainsi les morceaux de bravoure dans un maelström d’images et de sons qui laisse tout simplement admiratif.
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Oubliez l’univers de Tron l’héritage, le nouveau film de Zack Snyder repousse encore plus loin les limites de l’imaginaire. (...) Pendant près de deux heures, Sucker Punch multiplie ainsi les morceaux de bravoure dans un maelström d’images et de sons qui laisse tout simplement admiratif.
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C’est sur les jeunes filles en minijupe que Zack Snyder a cette fois jeté son dévolu, signant là, surprise, son plus beau film.
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Zack Snyder signe son film le plus personnel, onirique, spectaculaire et maîtrisé.
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C’est sur les jeunes filles en minijupe que Zack Snyder a cette fois jeté son dévolu, signant là, surprise, son plus beau film.
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Sucker Punch constitue un degré supplémentaire, certes pas toujours abouti mais souvent passionnant, dans une quête qui aujourd'hui, à Hollywood, ne manque pas d'audace.
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Sucker Punch constitue un degré supplémentaire, certes pas toujours abouti mais souvent passionnant, dans une quête qui aujourd'hui, à Hollywood, ne manque pas d'audace.
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Si on laisse de côté la psychologie de bazar pour considérer ce Sucker Punch comme un jeu vidéo géant, on en prend plein les yeux. (...) ses incroyables effets spéciaux renforcent son côté décoiffant.
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Sucker Punch de Zack Snyder secoue très fort la culture populaire pour donner un cocktail jouissif. Le réalisateur de 300 et de Watchmen a souhaité livrer un film d'action pour adolescents
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Sucker Punch de Zack Snyder secoue très fort la culture populaire pour donner un cocktail jouissif. Le réalisateur de 300 et de Watchmen a souhaité livrer un film d'action pour adolescents
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Des séquences d’action d’une richesse visuelle infinie, Snyder enchaînant ralentis et soudaines accélérations, sa marque de fabrique depuis 300. (…) Sucker Punch, c’est une comédie musicale déguisée en film d’action, un film d’horreur psychologique maquillé en peep-show cauchemardesque, et même un manifeste féministe travesti en blockbuster pour geeks
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Des séquences d’action d’une richesse visuelle infinie, Snyder enchaînant ralentis et soudaines accélérations, sa marque de fabrique depuis 300. (…) Sucker Punch, c’est une comédie musicale déguisée en film d’action, un film d’horreur psychologique maquillé en peep-show cauchemardesque, et même un manifeste féministe travesti en blockbuster pour geeks
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Ahurissant condensé de fantasmes geek, Sucker punch puise au même robinet que L'Armée des morts, 300 et Watchmen. Soit : un univers de figurines, disposées à loisir sur le fond interchangeable d'une inspiration enfantine qui est, en cela, d'une impressionnante vitalité.
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Ahurissant condensé de fantasmes geek, Sucker punch puise au même robinet que L'Armée des morts, 300 et Watchmen. Soit : un univers de figurines, disposées à loisir sur le fond interchangeable d'une inspiration enfantine qui est, en cela, d'une impressionnante vitalit
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par Alexandre Hervault
La principale qualité de l’esthète bourrin Snyder : son aptitude à raconter une histoire uniquement par l’image, sans dialogue. Passé le prologue, les personnages ouvrent la bouche et l’affaire se gâte. Le blabla est souvent mis de côté au profit de scènes d’action dantesques, morceaux de bravoure joliment réalisés mais vite pénibles.
La principale qualité de l’esthète bourrin Snyder : son aptitude à raconter une histoire uniquement par l’image, sans dialogue. Passé le prologue, les personnages ouvrent la bouche et l’affaire se gâte. Le blabla est souvent mis de côté au profit de scènes d’action dantesques, morceaux de bravoure joliment réalisés mais vite pénibles.
Si on laisse de côté la psychologie de bazar pour considérer ce Sucker Punch comme un jeu vidéo géant, on en prend plein les yeux. (...) ses incroyables effets spéciaux renforcent son côté décoiffant.
L'excellent réalisateur de Watchmen se perd dans un film d'action plus proche des jeux vidéo que du cinéma. Bruyant et fatigant.
De Zack Snyder, cinéaste inégal mais passionnant, on attendait de voir comment son vague talent d’illustrateur hi-tech, allait s'emboîter dans le genre parfaitement contre-nature du “blockbuster d‘auteur”. Sucker Punch, premier sujet qui n’appartient vraiment qu’à lui, répond à la question en mettant tristement en relief la pauvreté de son imaginaire (triste compilation dévitalisée à la tablette graphique d’un siècle de pop culture) et de son discours (l’imagination plus forte que le réel, oui ok merci). N’empêche, l’esthétique mutante du film, son absence totale de cynisme et sa capacité à rassembler dans le même geste brusque la plupart des motifs qui imprègnent l’air du temps, finissent par exercer in fine un étrange pouvoir de fascination. Lorsqu’on se demandera à quoi ressemblait le cinéma mainstream des années 00, Sucker Punch pourrait bien en être la plus juste évocation.