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En septembre 2004, l’équipe nationale de handball du Sri Lanka vient en Allemagne pour un tournoi. Elle n’en repartira jamais, tous ses membres s’étant dispersés dans le pays pour devenir des immigrés clandestins. En partant de ce fait divers, Uberto Pasolini, l’un des producteurs de The Full Monty, délocalise en Asie le concept de la célèbre comédie british. Tourné entièrement au Sri Lanka, ce film réécrit en effet la même histoire, celle d’un groupe d’hommes au bord de la précarité cherchant un moyen d’y échapper. Par l’absurde, là encore, puisque le handball est un sport inexistant
au Sri Lanka et que ces vrais-faux joueurs ont donc dû redoubler d’ingéniosité pour paraître crédibles. La différence par rapport à The Full Monty tient au contexte, la misère locale ayant imposé un traitement plus réaliste afin d’éviter tout regard condescendant.
Toutes les critiques de Sri Lanka National Handball Team
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette histoire vraie nous est racontée avec un grand souci d'authenticité. Les joueurs n'ont jamais été retrouvés. S'ils n'ont pas marqué le but, ils ont atteint le leur...
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Producteur de The Full Monty, Uberto Pasolini signe sa première réalisation sur cette audacieuse épopée de quelques types pauvres et désespérés qui rêvent d'obtenir un visa afin de rejoindre l'occident. Il a choisi le ton de la comédie " à l'italienne " (néo réalisme et humour) pour dépeindre le contexte social où se débattent ses personnages, le mélange ethnique, culturel et religieux de la société sri-lankaise. Quelques trouvailles...
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Un peu longuet, le film évite le double écueil du moralisme et de l'évangélisme pour mieux raconter avec fantaisie cette histoire invraisemblable et authentique.
