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1991, 2001 et 2011 : trois visages de la Croatie (de la guerre contre la Serbie à l’aprèsguerre) pour trois love stories sans lien entre elles, jouées par les mêmes acteurs. Stimulant en soi, le dispositif narratif est ici déroutant, car donné sans explication préalable. D’où un Soleil de plomb plus pesant que lumineux.
Toutes les critiques de Soleil de plomb
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Si le film est, en définitive, une réussite, il le doit en grande part à son interprète féminine, Tihana Lazovic, qui passe de la provocation adolescente du premier segment à la claustration mentale dans laquelle se débat le personnage de cette nouvelle qui évoque parfois l’univers étouffant de Tennessee Williams.
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Solaire et tragique, porté par des comédiens bouleversants qui avancent habités en véritables funambules, ce film écrit au cordeau étonne et captive de par l’horreur de l’histoire récente, au risque de se déliter gentiment dans sa troisième partie.
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Ces trois histoires d'amour poignantes (...) reposent sur l'interprétation d'un seul couple d'acteurs d'une justesse émouvante (...)
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L’idée peine à prendre réellement corps et écrase les particularités des figures de cette fable d’un volontarisme assez balourd sur l’amour dans la haine.