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(...) Sans Sarah tire le plein parti de son concept, à mi-chemin entre La rupture et Les femmes de ses rêves, et s'avère meilleur que les deux réunis.Après Steve Carell et Seth Rogen, Judd Apatow offre une nouvelle fois à l'un de ses poulains l'occasion de passer son examen de leadingman hollywoodien. Au milieu des hystériques à colliers à fleurs, Segel ne se démonte pas, assumant pleinement son statut de héros romantique improbable, donc forcément touchant. A l'image d'un film qui vous prend finalement autant par les sentiments que par la ceinture.
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Une première lecture du synopsis, pourrait faire croire qu’il faut avoir atteint un niveau de fatigue extrême (ou être dans un état second) pour apprécier le film de Nicholas Stoller. Faux ! Cette comédie sentimentale catastrophe est loin d’être un désastre. Sur fond de paysages cartes postales, on assiste à une avalanche de gags dont aucun ne tombe à l’eau. Si on apprécie que pas une minute ne s’écoule sans que les répliques cinglantes fusent, on est aussi soulagé d’avoir échappé à l’énième version d’une histoire d’amour niaise et prévisible. La Judd Appatow’s touch (ici producteur) a encore marché…
Toutes les critiques de Sans Sarah, Rien Ne Va!
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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L'intrigue a l'air idiote, mais c'est ça qui est drôle. La révélation, c'est cet humoriste anglais, animateur de la BBC, mix impossible entre Johnny Depp et Hugh Grant: Russell Brand est fou, sexy et étonnamment souple quand il enseigne les positions de l'amour dans de faux clips hilarants. S'il ne devient pas très vite une star internationale, c'est que la métrosexualité est un concept dépassé...
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Du rififi sous les palmiers! Produit par Judd Apatow, voici un cocktail bien secoué de romance et de pure farce qui, servie par une troupe bidonnante, distille une sacrée dose de bonne humeur.