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Une vendeuse de lingerie au chômage devient presque par hasard chasseuse de primes dans un New Jersey désincarné : malgré la présence de Katherine Heigl (au capital sympathie toujours intacte), on regarde se fermer une à une les différentes possibilités narratives de ce film très mineur, sans surprise, qui est pourtant loin d'être déshonorant (surtout quelques répliques drôles dans la bouche de son attachante héroïne, en fait). L'ambition téléfilmesque de Recherche bad boys désespérément devrait combler le vide d'un dimanche soir pluvieux. Mais ne cherchez surtout pas autre chose, sinon la preuve que Miss Heigl - sur les frêles épaules de qui repose le film - devrait chercher à s'épanouir dans d'autres rôles, d'autres thèmes, d'autres temps.
Toutes les critiques de Recherche Bad Boys désespérément
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Conçu pour que son héroïne de proximité, un peu plouc mais bien roulée, attire la sympathie, [le film] se limite à une rencontre d'épidermes, ceux des appétissants Katherine Heigl et Jason O'Mara, visiblement très amusés de se tourner autour pendant quatre-vingt-dix minutes.
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Dialogues plats, mise en scène fade, scénario sans surprise, le film de Julie Anne Robinson ne séduira que les inconditionnels de la comédienne.
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Katherine Heigl en chasseuse de primes godiche mais sympa... L'actrice fait le job mais semble dire : "Recherche good films désespérément".
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Tranquillement mais sûrement, Katherine Heigl s'infiltre partout dans la nouvelle comédie romantique américaine pour la miner de l'intérieur. Ce n'est pas ce Recherche bad boys désespérément qui changera la donne.
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Peu drôle, à peine romantique et pas vraiment agitée de l’action, l’adaptation cinématographique de Stéphanie Plum avec Katherine Heigl déçoit sur toute la ligne.
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Comédie musicale sans scénario : on a l'impression d'assister à un marathon de vidéoclips ringards (hallucinante séquence avec fleurs et papillons numériques autour des personnages). Les "kitscheries", aussi, provoquent des overdoses.
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Le scénario pourrait être assez délirant, mais il donne l'impression d'avoir été raboté de tous les côtés pour convenir à tous les publics. La mise en scène et le montage vont dans le même sens, celui d'un produit banalisé sans saveur et sans âme. Dans cet univers, Katherine Heigl, la plus lisse et la moins audacieuse des actrices de comédies américaines (...), est parfaitement à sa place.