Toutes les critiques de Pourvu qu'on m'aime

Les critiques de Première

  1. Première
    par Mathias Averty

    Enéa est un jeune Italien atteint d’autisme. Un handicap qui l’entrave dans son approche des relations amoureuses et sexuelles, et dans son désir d’aimer et d’être aimé. Soucieux de l’aider à mettre un terme à cette situation, ses deux meilleurs amis se lancent avec lui dans un périple à travers l’Europe avec la ferme intention de le dépuceler. Non, il ne s’agit pas du pitch du dernier Judd Apatow, mais d’un documentaire imaginé comme un road-trip qui n’hésite pas à emprunter aux codes de la comédie et du feel good movie. Bourré de personnages attachants, tendre et souvent drôle, Pourvu qu’on m’aime réussit à faire voler en éclats un bon paquet de clichés et de tabous tout en interrogeant notre propre rapport à la sexualité.