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Aucune raison de s’infliger cette éprouvante virée provinciale d’un groupe de hard-rockeurs où le prénom de George Harrison prend un « s » à la fin.
Toutes les critiques de Pop Redemption
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un scénario super inventif, des dialogues bientôt cultes, des situations tordantes et des seconds rôles de premier choix... On a déjà envie de le revoir !
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S’ensuit un road movie pour le moins rocambolesque en compagnie de ces losers, une comédie qui s’amuse des clichés entourant ce monde de tatoués aux cheveux longs, tout
en les rendant attachants. Diablement drôle. -
Si vous supportez de voir Julien Doré en mode gothique, cheveux longs et make up à la kiss, foncez !
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Au final, Pop Redemption évite de tomber avec sens dans le piège de la parodie lourdingue des hardrockers, même si le résultat est bien inoffensif.
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Les gags lourdingues ont beau s’enchaîner à un rythme peu soutenu, on se surprend à sourire et même, parfois, à rire. C’est que la bande à Juju, si dépourvue de talent soit-elle, parvient à capter notre sympathie. On les oubliera vite, mais en attendant on secoue la tête.
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Dans cette comédie à l’humour potache, l’ex-gagnant de Nouvelle Star Julien Doré, look satanique, se révèle irrésistible en chanteur de Black Metal, façon Alice Cooper.
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Ce qui amuse, c'est le mélange permanent d'imagerie metal et d'imagerie pop. (...) Les acteurs sont vraiment bien : mention spéciale à Grégory Gadebois, gros nounours au look viking.
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Le cinéaste, qui peine à dynamiser les situations loufdingues, sait néanmoins créer une empathie avec son quatuor de rebelles sataniques.
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Si l’humour est loin d’être totalement rance et si l’on peut éprouver un vrai plaisir à suivre ce groupe de losers azimutés aux looks énormes, on peine en revanche à trouver matière à rédemption dans la réalisation : plate, désolée et sans aucune saveur, jusque dans ses choix photographiques de couleurs passées qui jurent à l’écran. Bref, le feel-good movie laisse au final un sentiment mitigé, même si l’on peut admettre qu’il puisse séduire une audience assurée d’y trouver matière à s’éclater les oreilles.
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Julien Doré peine à convaincre face à ses trois acolytes, les seconds rôles sont caricaturaux et les gags souvent lourdingues. Résultat : de l'ennui et pas de rires.
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Rien à sauver dans cette comédie souffreteuse qui ne parvient jamais à choisir entre l’hommage drolatique pour semi-initiés et le délire parodique absolu – le spectre des Inconnus écrabouille chaque tentative gaguesque.