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Après s’être croisés dans un groupe de soutien pour malades du cancer, Hazel et Gus ne se quittent plus. Gus va aider Hazel à réaliser son rêve : rencontrer son écrivain préféré. Sortez les mouchoirs, voilà le mélo teen qui a épongé le box-office américain. Si on a du mal à croire à l’histoire d’amour terminale entre le frère et la sœur de "Divergente" donnée comme une fatalité, on peine encore plus à suivre le couple jusqu’à Amsterdam, où la visite de la maison d’Anne Frank et son parallèle symbolique (que restera-t-il de nous ?) finit de lester le film.
Toutes les critiques de Nos Etoiles Contraires
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La gravité du thème prend toute sa dimension grâce à la performance de l’héroïne, Mme Woodley, qui excelle tout naturellement.
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Un film qui vous brisera le cœur mais avec une belle dose de douceur, romantisme, chaleur et humour. Etre jeune et amoureux pour la 1ère fois prend tout son sens.
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Les grands films intègrent régulièrement la notion d’héroïsme, c’est aussi agréable d’avoir des histoires à échelle humaine.
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Woodley trouve le juste milieu entre élégance et gravité, tout cela avec le cœur.
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« Nos étoiles contraires » promet des choses qu’il ne livre pas, le manque de sincérité représente tout ce que l’on redoute dans un film de ce genre.
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Ce mélodrame assumé et bien ficelé, qui échappe au pathos trop facile, signé par les scénaristes de la comédie romantique « (500) Jours ensemble », est touchant et très bien interprété. Un seul bémol : ce voyage aux Pays-Bas qui n'apporte pas grand-chose.
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Ce mélo, adapté d'un best-seller pour ados de John Greene, est déjà un carton au box-office américain. Shaileene Woodley, phénomène à Hollywood depuis le succès de "Divergente" dont elle est l'héroïne, est juste et évite le piège du pathos -même si l'on a du mal à ne pas sortir les mouchoirs.
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Cette histoire d'amour entre deux adolescents atteints d'un cancer est la figure de proue d'une nouvelle tendance éditoriale et cinématographique. Résolument tragico-romantique, "Nos étoiles contraires" tire efficacement sur toutes les ficelles qui mènent aux larmes. Un peu facile, c'est vrai, mais les quelques fulgurances poétiques dont il fait preuve et l'humour doux-amer qui l'anime forcent l'indulgence et la sympathie.
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On nage ici en plein mélo, mais un mélo "rafraîchissant", si l'on peut dire, qui administre une belle leçon de vie en s'abstenant de surdramatiser une histoire déjà pesante. L'ensemble devant aussi beaucoup au rayonnement de ses jeunes acteurs.
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Un film qui contourne les clichés risqués autour de la maladie avec humour et chaleur.
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Il arrive un moment où le côté désinvolte de cette belle histoire d’amour s’efface pour laisser place à la maladie, la performance d’Ergort prend, alors, une autre dimension.
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"Nos étoiles contraires" est une (relative) réussite. Parce qu'habité par des personnages intelligents -ce qui, dans le genre, n'est pas si fréquent-, mis en scène avec mesure. Et parce que Shailene Woodley prouve une fois de plus qu'il va falloir compter avec elle. Kleenex conseillés.
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Relatant, sur le mode du mélodrame, l'histoire d'amour émouvante entre deux jeunes atteints d'un cancer incurable. Josh Boone n'évite guère la mièvrerie. Reste le couple Woodley-Elgort, deux étoiles montantes qui auraient mérité mieux que cette réalisation contraire.
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Un climat d’émotion revient tous les quarts d’heure, tous ces moments sont systématiquement accompagnés d’un morceau rock à l’eau de rose.
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Le roman est sans aucun doute de meilleure qualité.
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Nos étoiles contraires est, d'abord, un roman de John Green, très populaire aux Etats-Unis, dont il reste quelques idées originales. (...) Heureusement, les deux jeunes comédiens, popularisés par des grosses productions pour ados (Divergente), se montrent, ici, sobres et justes.
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De scène en scène, "Nos étoiles contraires" s’évertue, à coups de dialogues ciselés à l’extrême, de tons affectés et de détours culturels, à maintenir ses personnages au-dessus du public, faisant à tout bout de champ la démonstration de la culture de ceux-ci, de leur niveau de réflexion sur la vie et finalement de leurs sentiments. (...) Sous le prétexte de surmonter les grosses ficelles de son genre (la comédie romantique tire-larmes à la "Love Story"), "Nos étoiles contraires" se livre à une entreprise de mystification et d’auto-satisfaction des plus détestables.
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Un cynisme propre aux jeunes, un film maladroit et peu convaincant.