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La moitié du cinéma français a rendez-vous au musée. Pour l’amour de l’art ? Plutôt pour une critique en règle du snobisme inhérent aux arts plastiques. En partant de l’une de ses pièces à succès, Ribes ne réussit pas un film mais une succession de saynètes inégales et de rares fulgurances (la scène du baiser ou du Radeau de la Méduse). C’est tout.
Toutes les critiques de Musée haut, musée bas
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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De quoi ça parle? D'Art, avec un grand éclat de rire. Dans le genre burlesque, on n'avait sans doute pas fait de plus agité depuis Hellzapoppin. La finesse du discours en plus.
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Reprenant le principe loufoque de Palace, son émission culte, Ribes, avec son humour d'esthète brûlé, sème, une bonne fois pour toutes, le bazar dans les beaux-arts. N'attendez pas le déluge pour grimper sur cette arche de Noé que ce généreux déconoclaste a construite avec les planches du théâtre et les clous du spectacle.