Monstres Academy

Prequel de Monstres & Cie, réalisé par le génial Pete Docter, ce nouveau film Pixar raconte la genèse de la rencontre entre le gentil cyclope vert et le monstre poilu bleu à pois roses qui ont fait le miel du précédent volet. Avant de devenir d’indéfectibles amis, ils furent donc ennemis. La bonne idée est de faire de Bob Razowski un besogneux, un travailleur
forcené à qui rien n’est donné, tandis que Sulli est « naturellement » monstrueux. L’évolution de leur relation est fouillée et amusante. L’animation, impeccable, donne à l’ensemble une fluidité formidable. Mais à part la séquence du bal, le film manque de moments spectaculaires comme la scène des portes, véritable feu d’artifice du précédent épisode. Le scénario, quant à lui, s’engouffre dans les facilités du « film de campus », sans le renouveler. Il y a donc des bandes rivales, de vilains méchants et de tendres losers. Ainsi sur des rails, Monstres Academy poursuit son chemin avec efficacité mais sans ménager de grandes surprises. Les personnages secondaires sont moins approfondis et étonnants, à part Léon, le lézard caméléon, au départ très doux mais qui choisit finalement de rallier l’équipe des gros bras, et surtout la féroce doyenne Hardscrabble, moitié mille-pattes, moitié dragon, qui nous réserve quelques belles envolées – au sens propre. Curieusement, ce qui manque le plus ici, c’est le facteur humain. Les enfants effrayés pourvoyeurs de cris, voire de rires, restent hors champ, et vraiment c’est dommage.

(...) "Monstre Academy" réussit à dépasser son argument de préquelle pour simposer comme l'un des plus brillants rejetons de l'écurie Pixar.

un film à l’humour bon enfant et l’animation exceptionnelle. Un nouveau succès made in Pixar.

Si nos deux héros ont ainsi subi un petit lifting (...), ils n’ont en revanche rien perdu de leur efficacité. En l’absence de la petite Boo, caution émotion du premier film, "Monstres Academy" mise davantage sur l’humour et l’action (...).

Production Pixar et Disney, cette animation compte parmi les plus réussies et les plus drôles de ces derniers temps.

Une fois de plus, Pixar mélange les genres avec brio : comédie, action, film initiatique, rien n’échappe à ce chef-d’œuvre d’animation aux thèmes modernes et aux subtiles réflexions morales. Hilarant, beau, émouvant... vous allez adorer !

Bourrées de gags et de péripéties, les années fac de Sully et Bob partagent le même ADN que le film originel et réussissent, c’'est précieux pour un opus 2, à ne jamais se répéter tout en perpétuant un bel héritage. En si monstrueuse compagnie, les grandes vacances commencent vraiment très bien !

« Monsters University » est dans le même esprit que « Monsters Inc », le réalisateur a gardé le même ton.

L'occasion de s'amuser avec une nouvelle galerie de monstres qui prouve encore une fois la supériorité du studio en termes d'animation. 'Monstres Academy' s'éloigne aussi avec malice de Disney en taclant l'éternelle morale du « quand on veut on peut », chère au rêve américain. Au contraire, l'échec y est une expérience formatrice dont on sort grandi. Rafraîchissant.

Tous les Disneys ne peuvent pas être « le monde de Nemo » ou « Ratatouille ».

Pixar vient cette fois chercher l’étudiant en nous tout en amenant une réflexion intelligente sur les étapes à franchir qui définiront notre être en devenir. “We’re OK! We’re OK!”

Quel plaisir de retrouver le duo de Monstres & Cie! Dan Scanlon a la bonne idée de remonter aux sources de leur amitié. Ou plutôt de leur rivalité. La galerie de créatures tricéphales, quadrupèdes, visqueuses, et toujours poilantes, s’est étoffée. À la loufoquerie réjouissante s’ajoute l’incomparable touche d’émotion.

Perfection visuelle, Monstres Academy entraîne toutes ces nouvelles têtes dans un tourbillon d'épreuves qui ne laisse jamais le temps de souffler. Mais de se marrer oui. Et même monstrueusement.

"Monstres Academy" n’est certes pas du niveau époustouflant de ce premier volet. Pourtant, il retrouve quelque chose de l’âge classique de Pixar que l’on croyait définitivement envolé.

Rythmé, visuellement impressionnant (le campus st époustouflant) et très malin en optant pour le prequel plutôt qu’une suite, il manque à ce Monstres Academy d’être surprenant. Constamment dans les clous, il se révèle également moins touchant que le premier opus.

L'idée de faire de la peur des enfants une comédie marche toujours à merveille. Carto(o)n assuré.

Le prequel des aventures de Bob et Sulli (...) est un pur divertissement, impertinent à souhait.

(...) Voilà encore une prodigieuse réussite à l'actif d'une des filiales les plus inventives de la major Disney.

Un prequel décoiffant. Horriblement bon !

« Monsters University » est particulièrement astucieux.

L'idée de faire de la peur des enfants une comédie marche toujours à merveille. Carto(o)n assuré.

Davantage pour son message que pour son récit, enlevé certes mais relativement convenu, MONSTRES ACADEMY est une vraie surprise pour ceux qui n’attendaient rien d’une déclinaison a priori opportuniste d’un film révéré.

Une charmante valeur ajoutée de l’œuvre « Monster ».

Vous souvenez-vous de "Monstres et Cie" ? Ce pimpant nouveau film d'animation Pixar raconte la rencontre des deux héros à l'université. Un festival de gags et de fantaisie colorée.

Sans atteindre l'ampleur du premier épisode, ce prequel hilarant préserve l'essentiel : amour des marginaux et défiance de l'autorité, mamelles de la firme à la lampe.

Un nouveau Disney agréable et amusant qui s’ajoute à sa longue liste de chef-d’œuvres.

« Monsters University » a des qualités émotionnelles qu’on ne retrouve pas chez son prédécesseur.

À défaut de renouer avec un souffle égaré dans le portefeuille de Mickey, Pixar balaie Cars 2 sous le tapis de sa propre histoire et se lance dans l’auto-contrefaçon prestige.

Il y avait Laurel et Hardy, Starsky et Hutch, Murtaugh et Riggs, Jack Cates et Reggie Hammond… il y a aussi Bob et Sulli. Comment le yéti bleu turquoise et son acolyte cyclopéen sont-ils devenus les meilleurs amis du monde et la terreur d’élite de Monstropolis ? À cette question, le prequel de Monstres et Cie répond un peu scolairement. Normal me direz-vous, si l’on considère le décor de leur rencontre, sorte d’Harvard de la peur où on apprend à effrayer les enfants, la Monstres Academy. Si on ne boude pas notre plaisir à retrouver nos monstres préférés, il faut bien avouer que le film est un peu trop sage pour devenir le premier de la classe Pixar.

Les créatures de Pixar reviennent dans un costume légèrement trop serré et conformiste.

Les studios Pixar (...) même en petite forme dans la routine et le rythme de leurs créations, (...) parviennent à préserver leur malicieuse fantaisie pour nous divertir.

Pixar livre une nouvelle variation, divertissante mais peu inspirée, de l’une de ses meilleures productions, « Monstres et Cie »

C'est finalement le pouls Pixar qui se fait entendre, doucement, petite musique reconnaissable qui n'est pas vraiment de l'ordre de la happy end, mais plutôt une façon de prendre les choses avec philosophie et bonté de coeur, une sorte de sérénité dans l'éreintement qui redonne finalement à Monstres Academy un peu d'épaisseur morale sous l'apparence du film d'après-goûter.

Un film d’animation rauque, ingénieux et imaginatif.

Pas beaucoup d’évolution sur l’originalité du thème alors que c’était déjà très basique sur le 1er volet, ici encore, c’est conventionnel, sans grandes surprises.

le studio Pixar est devenu une nouvelle vache à lait du géant Disney, au point qu'il ne semble plus vraiment capable de produire autre chose que de piètres reconductions de ses succès passés.

« Monsters University » est très mignon et drôle, même si l’animation manque un peu d’inspiration, c’est très coloré.

« Monstres Academy » s’avère, au bout du compte, plutôt réussi, si l’on excepte l’effet de surprise du premier film qui n’opère plus.

Si Pixar n'atteint pas les sommets qu'il a lui-même bâti, Monstres Academy sonne comme un délicieux divertissement familial, coincé dans les figures imposées du buddy-movie mais horriblement attachant lorsqu'il parle de la conquête de l'autre et de soi.

Si Monstres Academy mérite que le spectateur attendri esquisse un sourire, il n'en demeure pas moins qu'exception faite de ses exploits visuels, le film n'offre à son public qu'une distraction trop anecdotique.

Pixar déroule une préquelle frénétique et sans imagination. Epuisant.

Une déception terrible, il y a du souci à se faire sur l’avenir des productions Disney.