Toutes les critiques de Maison De Bambou

Les critiques de Première

  1. Première
    par Philippe Rouyer

    Derrière ce bloc d’action pure, le réalisateur du Port de la drogue bouscule les conventions pour filmer les rapports de fascination et de jalousie entre un truand névrosé (Robert Ryan, bouleversant) et un flic qui tue de sang-froid (Robert Stack). Une relation ambiguë, exacerbée par le lyrisme de la mise en scène.

Les critiques de la Presse

  1. Pariscope
    par Virginie Gaucher

    Au Japon, un agent américain infiltre une bande de gangsters américains pour la détruire de l'intérieur. Le chef se prend d'amitié pour lui. Pas d'héroïsme, pas de romantisme mais de la violence, et d'un côté comme de l'autre, des tueurs froids et calculateurs. Dans un pays occupé par les Américains mais encore empreint de traditions, Samuel Fuller réalise un film noir au style vif et impitoyable et se moque de l'exotisme. Il oppose Robert Stack, rarement expressif mais ici cela sert son personnage, à Robert Ryan, le bad guy finalement assez émouvant dans son amitié trahie.