Louise-Michel-
Mauvais esprit politiquement incorrect et apparitions de guest-stars amies (Poelvoorde, Kassovitz...) sont au rendez-vous de ce film qui prend sa source dans les sketches « grolandais » mais trouve sa forme et sa longueur sans tirer à la ligne. S’il n’avait une image inutilement (et inexplicablement) laide, Louise Michel serait l’un des films les plus réjouissants du mois.
Toutes les critiques de Louise-Michel
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce road-movie totalement barré dénonce avec un humour très noir les conséquence dramatiques de la délocalisation et la banalisation de la précarité. Un sujet qui prend toute sa dimension grâce à l'interprétation habitée de Bouli Lanners et Yolande Moreau, irrésistibles de drôlerie et bouleversants.
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Mondialisation, délocalisations, enrichissement outrancier des patrons au détriment des ouvriers ou les dérives du capitalisme dans le prisme décalé des têtes pensantes de Groland, Kervern et Delépine...
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Drôle à en pleurer d'étonnement, métastasant parfois de la gêne, mais sexuellement très dyslexique, ce "free l'air" déverse une pluie d'acide d'idées folles.
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C’est limite et ça décoiffe et l’on s’amuse beaucoup avec ce film désespéré, entre « Groland » et « C’est arrivé près de chez vous », dans lequel le rire sert de thérapie face aux terribles injustices de notre époque. Un rendez-vous plus que déroutant, âmes sensibles méfiez-vous, mais fêtez ce Noël 2008 avec cette bande de fous furieux.
