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Cette chronique familiale intergénérationnelle se concentre sur Romain, 23 ans, et sa grand-mère octogénaire lorsque celle-ci s’échappe de la maison de retraite. Malgré une mise en scène classique et une dernière partie plus sirupeuse, on retrouve ici la patte de David Foenkinos (dont le film est assez librement adapté) et le ton décalé de Jean-Paul Rouve dans l’énergie des dialogues. Le charme et la verve des interprètes font le reste. Michel Blanc et Mathieu Spinosi se font voler la vedette par Annie Cordy, vraiment épatante.
Toutes les critiques de Les souvenirs
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un beau film plein de tendresse sur la famille, les relations enfants/parents-grands-parents. On rit, on pleure, on ressent tout un tas d'émotions Un très beau moment de cinéma.
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Avec des dialogues qui crépitent, extrêmement drôles, juste avant que l'émotion surgisse. Le film oscille alors entre douceur et douleur, et il est comme une caresse réconfortante.
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Un casting parfait, où chaque acteur est à sa place, dirigé de main de maître par le réalisateur qui a collaboré avec l'auteur de "La Délicatesse", pour un scénario écrit à quatre mains.
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Malgré une issue un tantinet guimauve, Jean-Paul Rouve signe une chronique tendre, cruelle et drôle sur la famille, la transmission et la vie qu’on se choisit. Son humour décalé et la délicatesse de David Foenkinos semblaient effectivement faits pour se rencontrer et s’entendre.
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L’acteur Rouve confirme son talent de réalisateur. Il utilise la riche palette des relations familiales pour nous peindre avec délicatesse une comédie douce-amère où le rire alterne, sur le bon tempo, avec l’émotion. Ces "Souvenirs" méritent de rester en mémoire.
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Ce n'est pas un cinéma de bons mots, mais de belles situations, émouvantes mais pas trop, amusantes juste ce qu'il faut. Un dosage équilibré servi par une idée à la fois formidable et évidente : le choix d'Annie Cordy pour interpréter la vieille dame très digne.
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Jean-Paul Rouve dit avec délicatesse nos fragilités, nos angoisses face à l'inéluctable. Moins triste, pesant et mélancolique que le livre, le film est ponctué de quelques touches humoristiques. Il évite l'écueil du pathos.
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Toutes les recettes du film qui fait rire, pleurer et, au final, qui veut à tout prix faire du bien sont déployées. Dans le registre, avec ses limites, c’est bien fait.
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Rien de révolutionnaire, mais Rouve le mélancolique, doué pour la tendresse réelle, sait rire aussi de la déprime. Le casting est à l'image de la complicité intergénérationnelle que prône le film.
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"Les Souvenirs" ne brille pas par une mise en scène révolutionnaire, mais fait preuve de tact, de sensibilité et d'humour. Un joli film, humble et juste, sur la fuite du temps et le sentiment d'être passé à côté de moments précieux.
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Jean-Paul Rouve signe une chronique douce et nostalgique d’après le roman éponyme de David Foenkinos. C’est simple, tendre, sans surprise, mais pas sans fantaisie. Un peu comme la vie.
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Du roman de David Foenkinos, Jean-Paul Rouve a tiré un film aux situations trop attendues, mais qui séduit par son sens de l’humour et de la nostalgie.